Les travaux devraient débuter en septembre 2021 et durer entre 15 et 18 mois. L’objectif pour le pays est de diversifier son mix électrique qui dépend à 85 % de l’hydroélectricité.
A cet horizon, la part de la capacité d’énergie renouvelable devrait atteindre 69,9 %, principalement grâce aux installations solaires photovoltaïques.
La centrale solaire photovoltaïque de Kom Ombo, d’un coût d’investissement de 130 millions d’euros, est développée par le producteur d’électricité saoudien Acwa Power. Le projet soutient la transition énergétique de l’Égypte et contribue à la réalisation de son ambition de 20 % d’énergies renouvelables dans son mix d’ici à 2022.
Afin de participer à la réflexion de politique publique sur le choix du mix électrique en 2050, trois chercheurs du CIRED ont mis en ligne un outil interactif qui étudie 315 scénarios de parts des énergies renouvelables et leurs coûts moyens de production.
La différence de capacité photovoltaïque entre les options basse et haute prévues dans la Programmation pluriannuelle de l’énergie s’élève à 12,5 GW. Quel est l’impact de cette capacité additionnelle sur le plan des émissions de CO2 ? Contribue-t-elle à la décarbonation du mix électrique ? Le think-tank France Territoire Solaire a mené une étude pour répondre à ces questions. Elle démontre que l’énergie photovoltaïque participe bien à la réduction de l’empreinte carbone du système électrique en France et en Europe.
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