Il s’agira du « premier démonstrateur au monde de “power-to-X-to-power” intégrant une turbine à gaz fonctionnant à l’hydrogène », explique Siemens. D’un montant de 15,2 millions d’euros, il devrait être mis en place à Saillat-sur-Vienne, en Nouvelle-Aquitaine. Les partenaires du projet veulent utiliser l’énergie renouvelable du réseau pour produire et stocker de l’hydrogène électrolysé. Celui-ci serait ensuite mélangé au gaz naturel pour alimenter une turbine à gaz Siemens SGT-400 de 12 MW, qui produit de la vapeur pour l’industrie et serait capable de réinjecter l’électricité sur le réseau.
Une nouvelle initiative a été lancée par 10 acteurs du secteur de l’énergie : Choose Renewable Hydrogen plaide pour une électrification des usages et une utilisation massive des énergies renouvelables et de l’hydrogène pour « pour parcourir les derniers kilomètres de la décarbonisation de l’Europe », souligne Aurélie Beauvais, la PDG par intérim de SolarPower Europe.
Au Journal Officiel de la République française sont parus, ce jeudi, deux décrets, datés du 21 avril 2020, largement attendus : celui relatif à la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) et celui relatif aux budgets carbone nationaux et à la stratégie nationale bas-carbone (SNBC).
Le spécialiste des équipements de production et distribution d’hydrogène a annoncé le renouvellement d’une ligne de financement en fonds propres avec la société d’investissement Kepler Cheuvreux.
McPhy, spécialiste des équipements de production et distribution d’hydrogène, annonce ce jeudi avoir été sélectionné pour accompagner deux projets dans la mobilité zéro-émission. L’un de ces projets vise à convertir les surplus d’électricité renouvelable (éolien et photovoltaïque) en gaz vert.
Le consultant norvégien en énergie DNV GL a examiné le rôle du stockage d’énergie à long terme dans l’équilibre des fluctuations annuelles de l’offre et de la demande dans un réseau alimenté par des énergies renouvelables. En utilisant 58 ans de données météorologiques et de consommation d’énergie néerlandaises, l’étude a révélé que des solutions à long terme telles que l’hydrogène vert pourraient apporter une contribution précieuse – mais peut-être pas autant que certains analystes le pensent.
Bertrand de Solages, directeur du site Michelin à Vannes, Jo Brohan, président de Morbihan Énergies, de la SEM 56 Énergies et Julien Chauvet, directeur hydrogène France d’Engie Solutions viennent de signer les accords concrétisant l’alimentation en hydrogène vert du site Michelin et de la station de recharge pour véhicules grand public à Vannes, dans le Morbihan.
Le CEA, Neste, Paul Wurth, Engie et Sunfire vont coopérer pour construire et exploiter le premier électrolyseur haute température de plusieurs MW produisant de l’hydrogène vert. Son rendement électrique devrait être supérieur d’au moins 20 % au rendement des électrolyseurs à basse température. D’ici fin 2024, 960 tonnes d’hydrogène vert devraient être produits.
Le centre de recherche et de développement technologique de Tecnalia, l’Université d’Eindhoven et Engie ont créé la start-up industrielle H2SITE pour promouvoir la production sur site d’hydrogène de haute qualité.
La société gazière Enagás a signé un accord avec le fournisseur de batteries Ampere Energy pour le développement conjoint de plusieurs projets de R&D de production d’hydrogène avec de l’énergie solaire et des batteries.
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