D’une surface totale de 11 hectares, le projet porte sur la mise en oeuvre d’un électrolyseur d’une puissance de 5 MW, qui produira jusqu’à 2 tonnes d’hydrogène par jour, et d’une installation agrivoltaïque d’une capacité de 7 MWc qui fournira une partie des besoins en électricité.
Tandis que le projet HyVence vise à implanter un électrolyseur de production d’hydrogène vert alimenté par deux centrales solaires de 500 hectares, plusieurs collectifs critiquent le lieu d’implantation sur deux étangs. Ils mettent en avant la détérioration de la biodiversité, ainsi que l’impact visuel pour les riverains et les promeneurs.
Dans le cadre de sa stratégie nationale, le Royaume veut mettre à disposition des investisseurs privés une première phase de 300 000 hectares, répartis en lots de 10 000 à 30 000 hectares, pour des projets intégrés de production d’énergies renouvelables, d’hydrogène vert et de ses dérivés comme l’ammoniac vert.
Le site disposera d’une capacité de production allant jusqu’à 1 150 tonnes d’hydrogène vert par an. Il sera alimenté par de l’électricité issue de parcs éoliens et photovoltaïques situés dans le pays, achetée dans le cadre de PPA conclus en direct avec des producteurs.
Le producteur Corsica Sole annonce un projet pilote en Corse, avec la construction d’un électrolyseur de 150 kW raccordé à une centrale solaire. pv magazine France a interrogé avec Jean-Gabriel Steinmetz, son directeur Nouveaux marchés, sur le modèle économique de l’hydrogène vert et sur les atouts d’une production locale dans les ZNI en remplacement des combustibles fossiles importés du continent.
Dans le cadre de ce contrat d’achat, Lhyfe utilisera l’électricité produite par une centrale solaire de 55 MWc, développée par l’énergéticien portugais EDP Renewables, pour alimenter ses futurs électrolyseurs de Lhyfe en Allemagne.
L’unité sera alimentée en électricité à partir de sources renouvelables provenant de contrats de fourniture d’électricité hydraulique, éolienne et solaire. Environ 1 000 tonnes d’hydrogène seront produits par an, notamment à destination du parc industriel “H2-Aspen”.
A terme, l’usine devrait produire 3 880 tonnes d’hydrogène vert par an. 90% de cette production sera utilisée par les principales industries régionales à forte consommation : le papier, le verre, l’acier, l’alimentation et l’automobile, ainsi que la manutention, l’énergie stationnaire et les applications de mobilité routière.
Le projet “Green Fuel Alliance” dont la première phase devrait débuter en 2026 nécessitera la construction de plus de 2 GW de capacités d’énergies éoliennes et solaires.
Le développement du parc photovoltaïque associé à du stockage, de l’hydrogène vert et de l’agri-PV se poursuit afin d’approfondir le développement du projet dans la continuité des enjeux soulevés lors des quatre mois de débat public qui se sont achevés début 2022.
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