Le projet, approuvé par les autorités égyptiennes, comprend le développement de 2,6 GW d’énergie renouvelable qui alimenteront en électricité un électrolyseur de 1 GW capable de produire 150 000 tonnes d’hydrogène vert par an. Celui-ci sera transformé en ammoniac pour la production d’engrais et de carburant vert pour le secteur maritime.
Bien que le pays soit en deçà de son objectif national de 100 MW de PV en 2020, le fait d’avoir réussi à installer 13,76 MWc de nouvelles capacités l’année dernière semble remarquable, compte-tenu du contexte économique et politique au bord de la rupture. En plein coeur de la crise, le solaire offre toutefois des solutions et pourrait tirer son épingle du jeu.
Le spécialiste français de l’énergie et le chimiste norvégien, producteur d’engrais, viennent de publier la première étude de faisabilité qui prévoit la conversion du site Pilbara (Australie) pour fabriquer l’ammoniac à partir d’hydrogène vert. Dans une première phase, une centrale solaire de 10 MW couplée à un électrolyseur sera installée d’ici à 2023.
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