Une nouvelle étude menée par des chercheurs des universités de Lancaster et de Reading, au Royaume-Uni, est parvenue à quantifier le gain économique résultant de la relation symbiotique entre les fermes solaires et les ruches d’abeilles.
Cette semaine, les prix de l’hydrogène ont atteint de nouveaux sommets, en raison de la hausse simultanée des prix du gaz naturel et de l’électricité. Ailleurs, de nouveaux projets sont planifiés, tels que la production d’hydrogène vert dans une brasserie britannique et la construction par Ineos d’un électrolyseur de 100 MW en Allemagne, la planification de moteurs à hydrogène par les fabricants de machines Rolls Royce et JCB, ainsi que de nouveaux accords d’investissement signés en Belgique, en Suède et au Kazakhstan.
Les dernières innovations du marché de l’hydrogène mondial : la société ITM Power, spécialisée dans le stockage de l’énergie et les carburants propres, ouvre une usine d’électrolyseurs de 1 GW au Royaume-Uni. Le fabricant de pièces automobiles sud-coréen Hyundai Mobis investit 1,1 milliard de dollars dans deux usines de piles à hydrogène dans son pays.
Une équipe de recherche britannico-australienne a évalué le potentiel du stockage de l’énergie à air liquide (LAES) pour une application à grande échelle. Les scientifiques estiment que ces systèmes peuvent actuellement être construits à un coût compris entre 300 et 600 euros par kilowattheure et qu’une analyse de rentabilité positive pourrait être favorisée par certaines conditions, notamment une structure de prix déterminée sur le marché de l’énergie et la présence d’un réseau incapable de supporter des niveaux élevés de pénétration des énergies renouvelables.
Ce contrat signé avec la City, le premier de ce type au Royaume-Uni à être signé directement entre un producteur d’énergies renouvelables et une autorité publique, permettra un accès à une électricité verte et bon marché, protégée de la volatilité des prix sur les marchés de l’électricité.
Pivot Power, filiale d’EDF Renewables, le finlandais Wärtsilä et Habitat Energy, spécialiste de l’optimisation du stockage sur batterie, ont mis en service hier mercredi le premier système de stockage sur batterie à grande échelle raccordé au réseau britannique de transport d’électricité, à Oxford, au Royaume-Uni.
Grâce à ce contrat d’une durée de dix, l’énergéticien suisse élargit son portefeuille d’énergies renouvelables sur le marché britannique, à destination des clients commerciaux et industriels principalement.
Selon de nouvelles recherches menées au Royaume-Uni, les parcs solaires peuvent aider à maintenir des habitats naturels pour les espèces pollinisatrices, à condition de créer des conditions d’alimentation, de reproduction et climatiques favorables.
La société britannique Xlinks prévoit de construire un complexe éolien et solaire de 10,5 GW au Maroc et de vendre l’électricité produite par cette énorme centrale au Royaume-Uni. Cela devrait être possible grâce à une ligne de transport à courant continu haute tension (HVDC, en initiales anglaises) de 3 800 km reliée à des sites au Pays de Galles et dans le Devon. Le PDG de l’entreprise, Simon Morrish, s’est entretenu avec pv magazine au sujet de cet ambitieux projet et de la manière dont il pourrait devenir réalisable.
La batterie SSEB (Systèmes de stockage d’énergie par batteries) du producteur français d’énergie verte sera destinée à stabiliser le réseau électrique britannique, dans un contexte de transition croissante de l’utilisation des énergies renouvelables au Royaume-Uni.
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