La Commission européenne a chargé une équipe d’évaluer les besoins en matières premières nécessaires à la transition énergétique européenne. Cette dernière a constaté que, si le déploiement mondial du photovoltaïque est fort et si les besoins en composants de certaines technologies solaires ne s’améliorent pas davantage, certains éléments pourraient venir à manquer.
Dans un « point de vue » publié cette semaine, Etienne Beeker et Marie Dégremont, de France Stratégie, organisme rattaché au Premier ministre, invitent à « réexaminer la robustesse des systèmes français et européen de production, de transport et de distribution d’électricité, » à l’aune de la chute d’activité sur la demande, due à la crise du Covid-19. Les énergies renouvelables y jouent et y joueront un rôle. Revue de détails.
Le ministre de l’Energie algérien Mohamed Arkab vient de déclarer, sur la radio nationale, que l’Algérie avait signé un accord préliminaire avec l’Allemagne afin de lancer son projet Desertec.
Une étude de Solarpower Europe et de l’université finlandaise l’Université de technologie Lappeenranta-Lahti (LUT) envisage trois cas différents de transformation du système énergétique européen. Le scénario le plus ambitieux, avec 100% d’énergie renouvelable et une forte proportion de photovoltaïque, pourrait être moins coûteux que les voies moins ambitieuses vers une Europe verte, estime l’étude.
La différence de capacité photovoltaïque entre les options basse et haute prévues dans la Programmation pluriannuelle de l’énergie s’élève à 12,5 GW. Quel est l’impact de cette capacité additionnelle sur le plan des émissions de CO2 ? Contribue-t-elle à la décarbonation du mix électrique ? Le think-tank France Territoire Solaire a mené une étude pour répondre à ces questions. Elle démontre que l’énergie photovoltaïque participe bien à la réduction de l’empreinte carbone du système électrique en France et en Europe.
Le soutien politique à l’idée de lier les stratégies de sortie de la crise du Covid-19 à la politique verte semble se renforcer au sein des institutions européennes. La période de Pâques a donné un nouveau souffle à cette idée.
Armor, spécialiste du film PV souple, annonce avoir noué un partenariat avec ACPV, porteur de projet autour des énergies renouvelable. Ensemble, ils ont conçu une bâche solaire automobile rétractable. Ce premier prototype est déployé sur la voiture électrique la Gazelle et peut être dupliqué sur tout type de véhicule électrique.
Pour inventer les batteries du futur, l’initiative européenne Battery 2030+, présente sa feuille de route de recherche de long terme. Celle-ci met en avant trois axes à suivre pour réussir le développement des batteries de prochaines générations tels que les matériaux et interfaces, les nouvelles fonctions dans les cellules ou encore le recyclage. Le CEA est partenaire de ce projet.
La pandémie de Covid-19 impacte fortement le système électrique. De nombreux pays ayant appelé au confinement général des populations, la demande électrique a logiquement chuté. Avec, également des déplacements de consommation des usines, du tertiaire et des écoles vers les foyers. Cet impact actuel aura cependant des conséquences dans la durée.
Selon le lobby du solaire européen, l’agriculture locale et l’énergie solaire sont les moteurs d’une économie européenne durable. Le groupe de travail, mené par le producteur indépendant d’énergie photovoltaïque, se fixe pour objectif de placer l’agrivoltaïsme en tête de l’agenda de la politique agricole européenne, et d’établir une norme mondiale pour cette application solaire.
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