Le développeur français et la société égyptienne de distribution d’énergie ont signé un protocole d’accord pour transformer un parc éolien existant de 545 MW en un site hybride éolien-solaire de 3 GW.
Le projet, approuvé par les autorités égyptiennes, comprend le développement de 2,6 GW d’énergie renouvelable qui alimenteront en électricité un électrolyseur de 1 GW capable de produire 150 000 tonnes d’hydrogène vert par an. Celui-ci sera transformé en ammoniac pour la production d’engrais et de carburant vert pour le secteur maritime.
L’Egypte a déployé cinq petites centrales solaires totalisant 325 kW sur le plateau de Gizeh, au palais Manial au Caire, au musée de Charm el-Cheikh et dans deux musées nationaux d’Alexandrie. Ce projet symbolique s’inscrit dans le cadre du programme photovoltaïque égyptien qui vise à développer l’énergie solaire en toiture dans le pays. Au total, l’Egypte a identifié environ 26 sites du patrimoine mondial pouvant accueillir des systèmes solaires à l’avenir.
Mis au point par des scientifiques égyptiens, le système de pompage d’eau alimenté par des panneaux photovoltaïques peut produire jusqu’à 181,8 m3 d’eau par jour. Le système se compose de deux panneaux photovoltaïques d’une capacité de 4,6 kW chacun et d’une unité de pompage composée d’un moteur à courant alternatif triphasé de 7,5 kW, d’une pompe submersible multicellulaire, d’un puits profond et d’un onduleur de 15 kW.
Avec un coût d’investissement global de 182 millions de dollars US (environ 168 millions d’euros), la centrale de Kom Ombo devrait être commercialement opérationnelle en janvier 2024.
Des chercheurs égyptiens ont utilisé la cire de paraffine pour réduire la température de fonctionnement de modules PV. Ils ont constaté que ce matériau à changement de phase (MCP) améliorait la puissance de plus de 15 % par rapport à un module de référence sans refroidissement.
Le producteur d’énergies renouvelables français a signé un protocole d’accord avec son partenaire égyptien TAQA Arabia. A terme, leur projet commun comprendra une installation de production d’hydrogène vert d’une capacité de 150 000 tonnes par an, avec une capacité d’électrolyseur de 1 GW, alimentée par 2,7 GW d’énergie solaire et éolienne.
Au cours du mois de novembre, l’Union européenne a annoncé trois protocoles d’accords avec le Kazakhstan, l’Egypte et la Namibie. En plus du marché de l’hydrogène vert, ces partenariats vise à sécuriser l’approvisionnement européen en matières premières critiques pour les EnR et le numérique, notamment en soutenant et finançant l’extraction minière et l’acheminement des ressources.
Le projet “Green Fuel Alliance” dont la première phase devrait débuter en 2026 nécessitera la construction de plus de 2 GW de capacités d’énergies éoliennes et solaires.
Scatec a annoncé entrer en phase de test et de financement pour une usine intégrée d’hydrogène vert à Ain Sokhna, en Égypte. Une fois finalisée l’infrastructure sera équipée de 100 MW d’électrolyseurs alimentés par 260 MW de solaire et d’éolien. Elle fournira jusqu’à 15 000 tonnes d’hydrogène vert par an pour la production d’ammoniac de l’entreprise d’engrais industriels Fertiglobe.
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