Le 10 juin dernier, l’Office franco-allemand pour la transition énergétique avait convié des acteurs français et allemands pour évoquer les différents scénarios qui s’offrent aux producteurs pour valoriser leurs actifs au-delà de la durée des vingt ans, entre repowering, Corporate PPA ou encore production d’hydrogène.
Environ 500 lacs à ciel ouvert laissés en héritage par l’industrie minière allemande du lignite à ciel ouvert pourraient potentiellement accueillir plus de 50 GW de capacité de production solaire. C’est dans cette optique que le ministère fédéral des Affaires économiques et de l’énergie finance une étude de trois ans sur le potentiel de revenus de cette technologie.
Alors que les stratégies nationales ont été éditées il y a un an, les acteurs français et allemands appellent de leurs voeux leur concrétisation, avec la création des premiers projets pour commencer à structurer la filière industrielle.
Innosea, une société de conseil en ingénierie spécialisée dans les énergies renouvelables marines, entre au sein d’un consortium dirigé par l’allemand Suntrace, chargé de développer et de soutenir l’appel d’offres d’un projet solaire photovoltaïque flottant (FPV) aux Maldives.
Selon les dernières statistiques de l’agence fédérale des réseaux, la Bundesnetzagentur, le segment du photovoltaïque en toiture a connu une légère contraction en mai.
Le surplus de production des panneaux photovoltaïques sur toiture, ainsi que l’électricité verte du réseau, alimentent un électrolyseur d’un mégawatt de puissance, dont l’hydrogène est injecté au réseau de chaleur. L’objectif est que les bâtiments ne génèrent qu’une tonne de CO2 par personne et par an.
Avec la batterie modulaire Battery flex, les deux partenaires visent les marchés de l’électromobilité et de l’autoconsommation solaire. Le produit sera disponible à partir de l’automne 2021 pour les clients français.
Armor Solar power films, spécialiste des films photovoltaïques souples organiques, vient d’annoncer la constitution d’une nouvelle gouvernance emmenée par Ralph Paetzold, nommé directeur général. Il sera entouré d’une équipe pluridisciplinaire répartie entre la France et l’Allemagne.
Le fabricant suisse Meyer Burger a obtenu 185 millions d’euros pour l’expansion de sa production de cellules et de modules. Meyer Burger ne veut plus vendre ses cellules solaires à des tiers à l’avenir.
Un projet de recherche financé par l’UE à hauteur de 4,8 millions d’euros vise à mettre au point un procédé permettant de récupérer tous les composants d’un module photovoltaïque.
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