Dans le cadre de sa stratégie nationale, le Royaume veut mettre à disposition des investisseurs privés une première phase de 300 000 hectares, répartis en lots de 10 000 à 30 000 hectares, pour des projets intégrés de production d’énergies renouvelables, d’hydrogène vert et de ses dérivés comme l’ammoniac vert.
Le projet, approuvé par les autorités égyptiennes, comprend le développement de 2,6 GW d’énergie renouvelable qui alimenteront en électricité un électrolyseur de 1 GW capable de produire 150 000 tonnes d’hydrogène vert par an. Celui-ci sera transformé en ammoniac pour la production d’engrais et de carburant vert pour le secteur maritime.
Confrontés à une sécheresse alarmante, de plus en plus d’agriculteurs marocains installent des systèmes de pompage alimentés par l’énergie solaire. Mais l’investissement initial et le manque de structuration du marché freinent encore l’adoption par les petites exploitations agricoles.
Baptisée i-Smart, la borne a pour ambition de concurrencer les produits importés. Disponible dans des gammes de puissance de 7 kW, 11 kW et 22 kW, elle est connectée et associée à une application de géolocalisation en cours de déploiement.
Pour la première fois, pv magazine France est présent sur ce salon de l’énergie solaire et de l’efficacité énergétique qui se tient du 26 au 29 février à Casablanca et part à la rencontre des professionnels marocains pour discuter de l’énorme potentiel du photovoltaïque dans le pays, mais aussi des freins techniques et réglementaires.
L’Egypte a déployé cinq petites centrales solaires totalisant 325 kW sur le plateau de Gizeh, au palais Manial au Caire, au musée de Charm el-Cheikh et dans deux musées nationaux d’Alexandrie. Ce projet symbolique s’inscrit dans le cadre du programme photovoltaïque égyptien qui vise à développer l’énergie solaire en toiture dans le pays. Au total, l’Egypte a identifié environ 26 sites du patrimoine mondial pouvant accueillir des systèmes solaires à l’avenir.
Des chercheurs chinois ont évalué l’impact de la couverture du désert du Sahara par du solaire à grande échelle. Ils ont découvert que celle-ci pourraient avoir un impact sur les nuages en raison de la télécorrélation atmosphérique. Cela aurait à son tour un impact sur la production d’énergie solaire elle-même en Afrique du Nord, en Europe du Sud, dans le sud de la péninsule arabique, en Inde, en Asie du Nord et même en Australie orientale.
Le groupe Masen, chargé de développer les énergies renouvelables au Maroc, a publié la liste des consortiums préqualifiés pour construire la centrale solaire Noor Midelt III de 400 MW, avec 400 MWh de stockage. Parmi eux, trois Français sont en lice : EDF Renouvelables, Vinci Concessions et GDF International.
Le projet hybride solaire-éolien Xlinks de 11,5 GW, associé à 22,5 GWh/5 GW de stockage par batterie, a pour but d’alimenter en électricité renouvelable à bas coût l’équivalent de 8 % des besoins domestiques actuels du Royaume-Uni depuis le Maroc, via un câble de 3 800 km.
Un groupe de recherche hispano-algérien a testé la manière dont les « toits frais » pourraient contribuer à augmenter le rendement énergétique des systèmes photovoltaïques bifaciaux en toiture. Les toits dits frais sont basés sur des matériaux de revêtement ayant des propriétés de réflexion élevées.
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