Le Liten, un institut de CEA Tech, est en train de développer un algorithme permettant d’identifier les pertes survenant dans les centrales photovoltaïques, de la réception des rayons solaires à l’injection de l’électricité sur le réseau. « Il devrait permettre d’optimiser la maintenance des centrales pour garantir leurs performances », précise le laboratoire.
Un groupe de scientifiques propose un nouveau système de mesure : la valeur de l’efficacité. Elle permet d’établir le coût maximal admissible d’une innovation pour améliorer le coût actualisé de l’énergie (LCOE).
Les scientifiques ont observé que l’efficacité d’un appareil photovoltaïque organique diminue d’environ 50 % lorsqu’il est exposé à une irradiation lumineuse de 100 heures. Ils ont attribué cette perte à la résistance accrue de la couche de semi-conducteur organique.
Des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology ont mis au point un revêtement transparent qu’ils ont intégré avec succès à une cellule solaire à pérovskite, augmentant ainsi son efficacité et sa stabilité. Le groupe a déclaré que, grâce à d’autres améliorations, le matériau pourrait être utilisé comme une alternative plus simple et moins coûteuse à l’oxyde de titane indium, qui est actuellement largement utilisé comme matériau conducteur transparent.
La nouvelle cellule repose sur un conducteur transparent de type p constitué de fibres de nanotubes de carbone. Le dispositif offrirait 16% d’efficacité supplémentaire par rapport aux cellules amorphes traditionnelles.
Un chercheur a proposé une nouvelle approche pour appliquer des techniques de suivi du point de puissance maximal afin d’optimiser la production d’électricité dans les projets éoliens-solaires. Le modèle hybride de génératrice synchrone à aimants permanents utilisé dans cette étude est basé sur des redresseurs à entrées multiples supposé être capable d’éradiquer les harmoniques de courant et d’éliminer le besoin de filtres d’entrée supplémentaires.
Des chercheurs espagnols ont découvert un matériau permettant le refroidissement radiatif et l’autonettoyage des appareils soumis à un échauffement important lorsqu’ils fonctionnent, tels que les panneaux photovoltaïques. L’émetteur thermique a permis aux scientifiques de réduire de 14 degrés Celsius la température diurne des wafers de silicium.
Pendant longtemps, les modules bifaciaux étaient considérés comme des curiosités technologiques sans application pratique. Les deux dernières années ont démontré que cette technologie est en passe de devenir incontournable sur un grand nombre de marchés. En 2018, les modules bifaciaux représentaient déjà 10 % des nouvelles installations et, selon la plate-forme d’études de marché Tayiang, ils devraient représenter 40 % du marché mondial au cours de la prochaine décennie. Comme souvent avec le solaire, ces prédictions pourraient s’avérer bien en deçà du réel d’ici quelques années !
LE CEA et la start-up Sylfen se sont vu décerner le prix EARTO, qui récompense les meilleures innovations de l’année. L’objet du prix, le Smart Energy Hub, est un système hybride de stockage et de cogénération d’énergie : il peut fonctionner en mode « électrolyse » pour stocker de l’énergie renouvelable sous forme d’hydrogène, ou en mode « pile à combustible » pour produire de l’électricité et de la chaleur à partir d’hydrogène précédemment produit ou de méthane.
Le projet REVE, Recharge Écologique des Véhicules Électriques, a été présenté à l’Hôtel Communautaire de Béthune-Bruay, dans les Hauts-de-France, le 24 octobre. Ce projet, qui associe éolien, solaire et batteries de première et deuxième vie, doit être une solution 100 % renouvelable pour la recharge de 24 véhicules électriques.
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