Des scientifiques néerlandais ont mis au point de nouveaux indicateurs de changement du paysage (ICP) pour évaluer les projets agrivoltaïques. Cette nouvelle méthodologie a pour but d’aider les décideurs politiques et les développeurs de projets à atténuer l’impact visuel et environnemental des installations agrivoltaïques.
Développée par des chercheurs de l’Institut coréen de recherche sur l’énergie (KIER), cette nouvelle cellule a été conçue pour des applications dans des dispositifs photovoltaïques tandem pérovskite-silicium bifacial. Les universitaires affirment qu’ils ont réussi à surmonter un mécanisme de dégradation interne intrinsèque induit par le dopant, qui entraîne une diffusion indésirable de l’ion lithium préjudiciable à l’efficacité de la cellule.
L’institut de recherche allemand étudie l’utilisation d’équipements d’évaporation sous vide disponibles dans le commerce pour fabriquer des couches minces de pérovskite et des couches de contact dans la fabrication de cellules tandem pérovskite-silicium.
Destinée aux salariés des entreprises de l’industrie solaire, la formation de 3,5 heures permet d’intervenir en toute sécurité lors de travaux électriques sur des installations photovoltaïques BT, de prendre connaissances des normes pour y être conforme et de développer des connaissances sur la règlementation en matière de sécurité électrique et de risques afférents.
Une cellule solaire pérovskite flexible entièrement imprimable atteint un rendement de 17,6%.
Développée par des scientifiques canadiens, la cellule solaire de 0,049 cm2 a été fabriquée à air ambiant et avec un réactif connu sous le nom de chlorure de phényltriméthylammonium (PTACl). Elle a atteint une tension en circuit ouvert de 0,95 V, une densité de courant en court-circuit de 23 mA cm-2 et un facteur de remplissage de 80 %.
Baptisé DC-Power, le programme de recherche fait intervenir un consortium d’acteurs européens sur quatre années. Ils testeront ensemble le concept réseau mis en place à travers deux projets pilotes basés sur l’énergie solaire, l’un équipé d’un électrolyseur d’hydrogène de 2 MW, l’autre raccordé à un datacenter pour une capacité allant jusqu’à 500 kW.
Le département des transports du Minnesota évalue actuellement la possibilité d’associer la production d’électricité aux barrières pare-neige utilisées pour protéger les routes.
Cette nouvelle cellule solaire utilise du trisulfure d’antimoine (Sb2S3) comme couche de champ de surface arrière (BSF). Selon ses créateurs, cette couche peut être incluse dans les cellules solaires CIGS conventionnelles afin d’améliorer leur efficacité et de réduire le coût du matériau absorbant.
Les nouveaux panneaux solaires de Sharp certifiés IEC61215 et IEC61730 ont un coefficient de température de fonctionnement de -0,30% par C et un facteur de bifacialité de plus de 80%.
Depuis la publication du guide pratique UTE C15-712-1 de l’AFNOR en 2013, plusieurs nouveaux dispositifs sont apparus sur le marché, sans cadre officiel de conformité à suivre pour leur installation. Pour combler ce vide normatif, Hespul et un groupe de partenaires ont proposé une mise à jour des règles de conception des installations photovoltaïques qui inclue notamment les panneaux bifaces, les micro-onduleurs et les optimiseurs de puissance.
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