Une analyse aux rayons-X résout le mystère sur comment préserver l’absorption optique dans les couches de pérovskites. Cette découverte pourrait permettre de stabiliser le matériau et accélérer la mise sur le marché autour du nouveau matériau miracle de la recherche en photovoltaïques.
Le fabricant d’onduleurs construira le laboratoire sur son site de Niestetal en Allemagne. Les nouveaux locaux permettront de tester l’impact des ondes électromagnétiques générées par des équipements maniant des puissances électriques de jusqu’à 5 MW.
Le nouveau président du conseil d’administration de Meyer Burger admet que la situation du premier équipementier solaire en Europe est tendue, mais il demande à ses actionnaires de soutenir le plan de repositionnement de l’entreprise vers les technologies à haut rendement et les marchés hors de Chine.
Ces projets « s’attaquent aux défis techniques et scientifiques auxquels l’énergie solaire est aujourd’hui confrontée », précise l’INES, qui se réjouit que cinq d’entre eux soient menés en partenariat avec le laboratoire CEA Liten.
La start-up toulousaine Sunbirds a créé un bureau, un atelier de montage et un centre de maintenance à Brisbane, en Australie. La société fournit des drones à énergie solaire et des solutions aux géomètres, aux stations d’élevage et aux entreprises de surveillance de l’environnement.
Des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology affirment que le changement climatique pourrait réduire les performances des modules solaires. Selon leur analyse, le réchauffement climatique pourrait entraîner des pertes de performance pouvant atteindre 50 kWh par kilowatt installé par an.
Des scientifiques du Laboratoire américain des énergies renouvelables NREL ont une idée de plus en plus précise de ce que sera le réseau décentralisé alimenté par les énergies renouvelables. Leur projet, Autonomous Energy Grids, vise à examiner les solutions applicables à ce réseau du futur, et à en avoir une vision globale.
Après examen de 332 candidatures, 12 sociétés ont été désignées finalistes pour le Prix Start-up EDF Pulse 2019. Dans la catégorie, « territoires durables », les finalistes innovent dans les domaines de l’énergie solaire et du stockage.
Des chercheurs ont mis au point un outil permettant d’utiliser des images satellites peu chères, telles que celles de Google Maps, pour concevoir des projets solaires de manière automatique et dont le taux de précision atteint 91 %.
Pour l’équipage d’Energy Observer, il s’agit d’une escale symbolique puisque le Spitzberg est considéré comme « l’épicentre du changement climatique », là où les effets du réchauffement climatique sont ravageurs. L’équipage a pu prouver qu’il était possible de parcourir de grandes distances en mer, en respectant l’environnement, même dans des conditions météorologiques extrêmes.
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