Quatre projets d’interconnexions sont actuellement à l’étude pour ajouter entre 1,4 et 2,6 GW de capacités d’interconnexions aux 4 GW disponibles actuellement entre les deux pays. La CRE a étudié les bénéfices potentiels du projet en fonction de plusieurs scénarios énergétiques et lance une consultation publique sur ce développement électrique, qui pourrait notamment éviter l’écrêtement d’une partie de la production EnR britannique et française.
Baptisé DC-Power, le programme de recherche fait intervenir un consortium d’acteurs européens sur quatre années. Ils testeront ensemble le concept réseau mis en place à travers deux projets pilotes basés sur l’énergie solaire, l’un équipé d’un électrolyseur d’hydrogène de 2 MW, l’autre raccordé à un datacenter pour une capacité allant jusqu’à 500 kW.
Dans un nouveau rapport, la CRE a dévoilé que les gestionnaires français ont un déploiement avancé des technologies numériques sur leurs réseaux mais recommande de réduire encore les délais et les coûts de raccordement, d’industrialiser les solutions de flexibilité et de renforcer la fiabilité des données qu’ils mettent à disposition des acteurs.
L’affirmation selon laquelle le photovoltaïque ne serait pas pertinent en France, car se substituant à une énergie décarbonée, revient régulièrement dans le débat public. Pourtant, elle est erronée selon Damien Salel, expert en photovoltaïque, qui expose ici les méthodologies du calcul de l’impact et du retour carbone du solaire dans le cadre de sa croissance attendue sur le marché européen interconnecté.
En plus des outils de planification énergétique, les deux partenaires travaillent sur l’absorption du réactif par les producteurs du réseau basse tension. Obligatoire depuis février 2023 pour les nouvelles installations, l’initiative repose sur un réglage de l’onduleur et peut libérer jusqu’à 30 % de capacité sans travaux selon Enedis.
L’énergie propre produite en excédent et gaspillée quotidiennement sur l’île a considérablement augmenté depuis l’an dernier. Le ministère de l’Énergie étant sous la houlette d’un vétéran des carburants fossiles depuis l’élection présidentielle de février dernier, quelles sont les perspectives en matière de transition verte ?
Le ministère portugais de l’environnement a accordé 5 GW de permis de connexion au réseau, principalement pour des projets photovoltaïques. Ces permis couvrent 5 GW pour les centrales électriques reliées au réseau de transmission à haute tension et 1 GW supplémentaire pour les projets connectés aux E-Grids à des niveaux de tension inférieurs.
Un groupe international de chercheurs propose la construction d’un réseau central en Afrique subsaharienne afin de réduire la précarité énergétique. La ligne de transport traverserait 12 pays : le Mali, le Niger, le Nigéria, le Tchad, le Soudan, l’Éthiopie, l’Ouganda, le Kenya, la Tanzanie, le Burundi, le Mozambique et l’Afrique du Sud.
Selon Aurora Energy Research, l’Europe est en passe d’installer au moins 95 GW de systèmes de stockage d’énergie par batterie d’ici à 2050, contre 5 GW de capacité installée aujourd’hui, ce qui représente un investissement de plus de 70 milliards d’euros.
Fluence, spécialiste du stockage, vient de lancer Ultrastack, un système de stockage de l’énergie par batterie (SSEB) destiné à épauler les réseaux de transmission (storage-as-transmission asset, SATA). Cet outil est conçu pour aider les propriétaires et exploitants des réseaux à gérer le délestage des énergies renouvelables, à augmenter l’utilisation des lignes de transport et à limiter la congestion.
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