La société britannique indique que les nouveaux modules ont une puissance nominale de 445 W et peuvent garantir un rendement de 95 % après 10 ans.
Ce modèle d’ordinateur portable de 1,22 kg est équipé d’un panneau solaire intégré à la coque, capable d’absorber suffisamment de lumière du soleil en 20 minutes pour alimenter une heure de lecture vidéo.
En Suède, Green14 fait tourner son réacteur pilote, situé à l’Institut royal de technologie KTH et étudie la possibilité de passer à l’échelle. La solution est capable de raffiner du silicium et du silane avec une capacité de production de 5 kg/h grâce à un système plasma d’une puissance de 100 kW.
La solution digitale « tout en un » proposée aux installateurs photovoltaïques par Revolt.eco s’enrichit d’une nouvelle fonctionnalité : un simulateur solaire en ligne, mis gratuitement à la disposition des professionnels jusqu’à la fin du mois de juin.
Dracula Technologies a amélioré l’efficacité de ses modules photovoltaïques organiques en remplaçant les busbars en cuivre par des versions argentées imprimées en sérigraphie, ce qui a permis d’augmenter la puissance de 800 µW à 1025 µW sous un éclairement de 1000 lux.
D’après des chercheurs australiens, l’électricité générée par le mouvement de l’eau sur une surface pourrait être dix fois plus puissante que ce que l’on imaginait. Cette découverte pourrait permettre d’améliorer considérablement les taux de stockage et de recharge de l’énergie, tout en renforçant la sécurité des systèmes de stockage de carburant.
GraphEnergyTech, une entreprise essaimée d’une université suisse et britannique, développe une technologie d’électrodes en graphène pour remplacer l’argent et d’autres métaux traditionnellement utilisés dans la fabrication des cellules solaires.
Goldi Solar a ouvert une ligne de fabrication de modules photovoltaïques, dotée d’une inspection optique automatisée (AOI) et basée sur l’intelligence artificielle, sur le site de son usine de Kosamba, en Inde. Le projet laisse entrevoir les technologies intelligentes intégrées dans la production de modules.
Un consortium franco-allemand lance le projet EO4ER qui utilise des données satellitaires de nouvelle génération pour anticiper l’impact de la production solaire variable sur les réseaux électriques. À travers un prototype de jumeau numérique, il vise à affiner les prévisions infrajournalières et à intégrer les effets du changement climatique sur la production d’énergie photovoltaïque.
ExTASE est un consortium destiné à supporter financièrement la maturation des projets de recherche dans la transition énergétique vers leur industrialisation. pv magazine France s’est entretenu avec Julie Chambonnière, responsable des programmes nationaux au sein de l’accélérateur Linksium, pour connaître les modalités de candidature.
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