Le fabricant chinois de panneaux solaires Longi a réagi aux récentes informations parues dans les médias selon lesquelles il pourrait supprimer 30 % de sa main-d’œuvre mondiale.
Agro Solar Europe a mis au point une structure de montage agrivoltaïque à base de matériaux organiques tels que le lin, le carbone et la fibre de bois. Sa conception permet de réduire le poids de 90 % par rapport aux structures en acier habituelles.
Le nouveau panneau a une feuille arrière blanche et un coefficient de température de -0,34/°C. Il pèse 4,1 kg par m2 et, selon le fabricant, supporte tous les types de méthodes d’installation, y compris collé ou fixé sur une structure.
Trina Solar a mis au point des modules solaires entièrement noirs de 450 W, dotés de cellules solaires à contact passivé par oxyde tunnel de type n (TOPCon), avec un rendement de conversion d’énergie de 22,5 %.
Filiale du groupe Cetih depuis 2018, Systovi fabrique depuis 2008 des solutions solaires dans son usine de Carquefou, près de Nantes. Touchée par une baisse brutale de ses carnets de commandes, l’entreprise cherche un repreneur pour ses activités de conception, production et commercialisation.
Pesant 20,7 kg, il est en particulier adapté aux toitures résidentielles, mais aussi commerciales et industrielles (C&I). Il présente un rendement de 22,28 % et un coefficient de basse température de -0,3 %/°C.
La société britannique Lightricity, une spin-off de Sharp Laboratories of Europe, basée à Oxford, a lancé des équipements de test pour les dispositifs photovoltaïques d’intérieur, qui sont suffisamment petits pour alimenter des montres-bracelets ou plus grands, destinés aux appareils électroniques et aux capteurs de l’internet des objets (IoT).
À la fois distributeur d’équipements et concepteur de solutions solaires sur tous les continents de par son engagement à l’international, CapEnergie porte un regard forcément singulier sur le monde du photovoltaïque qui l’entoure depuis plus de quinze ans.
Longi et Ferroglobe ont signé un accord à long terme pour la fourniture de quartzite et de silicium de qualité métallurgique (MGS). L’accord est en vigueur depuis le début de l’année.
Le recours avéré ou suspecté au travail forcé devra faire l’objet d’une enquête et, s’il est prouvé, les produits devront être retirés du marché. Les produits pourront être réintroduits sur le marché si le travail forcé est éliminé des chaînes d’approvisionnement.
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