La complexité des dispositions relatives à la gouvernance, la nécessité d’augmenter le budget de la CWaPE pour engager les ressources humaines suffisantes et l’absence de soutien ou de facilitation dans la création des projets de partage d’énergie sont les trois principales remarques formulée par la Commission de régulation. L’avant-projet d’arrêté du Gouvernement wallon relatif aux communautés d’énergie et au partage d’énergie avait été adopté en première lecture le 23 juin 2022.
L’université de l’autoconsommation d’Enerplan a dédié un atelier interactif au couplage photovoltaïque-électromobilité. Il a notamment permis d’évoquer les mesures réglementaires et les objectifs de développement des points de charges pour les véhicules électriques et les opportunités qui en ressortent pour le solaire.
La montée en puissance de la production intermittente des énergies renouvelables pose la question de leur intégration sur le réseau. Cette croissance verte suppose de coordonner les parties prenantes, du gestionnaire au développeur, en passant par les acteurs du bâtiment et les consommateurs. La mise en place d’une flexibilité réelle a été au coeur des échanges de la table ronde dédiée au sujet lors de l’université de l’autoconsommation photovoltaïque 2022, qui a permis d’évoquer les solutions innovantes commercialisées à date.
Si les projets en autoconsommation attirent de manière croissante, ils posent aussi la question du raccordement au réseau. Selon la taille et l’implantation de l’installation, cette étape peut coûter cher et ralentir le développement de l’initiative. Les échanges du premier jour de l’Université de l’autoconsommation photovoltaïque 2022 ont permis d’aborder ces questions et les perspectives d’amélioration en présence de l’opérateur réseau Enedis.
Ces 20 et 21 septembre, Enerplan a réuni à Paris les acteurs de l’autoconsommation pour échanger sur les innovations, les développements et les difficultés de la filière. Pour accélérer le déploiement du solaire en AC en France, notamment dans un contexte de crise énergétique, il exhorte le gouvernement à inscrire l’autoconsommation dans le projet de loi d’accélération des énergies renouvelables.
La raréfaction du foncier disponible pour le PV, l’incertitude des prix de gros de l’électricité et la perspective de la loi Climat-résilience mènent à pousser la réflexion sur l’autoconsommation collective. Cette tribune propose une ouverture sur les opportunités du solaire dans une perspective de développement lié à la compréhension des usages énergétiques et à la mise en place d’une répartition optimisée de la production dans les communautés énergétiques.
Le projet Ecotrain vise à mettre en place une solution de mobilité multimodale décarbonée basée sur un système de navettes ferroviaires utilisant les rails existants ainsi que sur une flotte de véhicules électriques disposés dans les gares pour les trajets dits du « dernier kilomètre ». Près de 80 acteurs privés et publics se sont réunis pour coordonner le déploiement concret du projet, en vue d’une implémentation en Occitanie d’ici à 2026.
Après avoir enregistré une très forte croissance ces dernières années, l’entreprise basée dans les Hauts-de-France concentre son développement notamment sur l’international et sur le renforcement de son activité dans les hangars et les toitures agricoles.
Via sa filiale Engie Energy Access, le groupe français a obtenu un prêt de 10 millions d’euros auprès de la Banque européenne d’investissement pour déployer 107 000 systèmes solaires domestiques dans les zones isolées et non connectées du pays. Les foyers peuvent acheter l’équipement via un mode de paiement à l’acte qui couvre également l’acquisition du matériel.
Soutenu par un consortium d’industriels et des investissements publics, l’écotrain est alimenté à 90 % en énergie solaire et peut être déployé sur les lignes existantes pour le transport de passagers et le fret. Le concept repose sur une boucle locale d’énergie, les principes de mobilité « au fil du soleil » et un système pensé en courant continu. Amarenco est en charge de développer la partie électrique avec des installations PV + stockage en AC collective. Un pré-démonstrateur devrait être testé sur le site du constructeur Socofer à côté de Tours à la mi-2023 et bénéficie du soutien de l’IMT Mines d’Albi dans le cadre d’un programme de recherche pour l’AC collective.
This website uses cookies to anonymously count visitor numbers. To find out more, please see our Data Protection Policy.
The cookie settings on this website are set to "allow cookies" to give you the best browsing experience possible. If you continue to use this website without changing your cookie settings or you click "Accept" below then you are consenting to this.