BloombergNEF estime que les installations solaires mondiales pourraient atteindre 700 GW en 2025, avec des ajouts atteignant 753 GW en 2026 et 780 GW en 2027.
La principale source de production du mois était le nucléaire (22,1 %), suivi de l’hydroélectrique (20,2 %), de l’éolien (17,3 %), du photovoltaïque (14 %) et du cycle combiné (13,8 %). De plus, 237 GWh ont été fournis aux installations de stockage et 1 214 GWh ont été programmés pour l’exportation d’énergie vers les pays voisins.
Dans la version diffusée de mars 2025, les objectifs pour le photovoltaïque sont revus à la baisse : ils sont passés pour 2035 de « 75 à 100 GW » à « 65 à 90 GW ». Pour 2030, l’ambition serait de 54 GW pour 2030, soit la fourchette basse soumise à consultation fin 2024 (54 à 60 GW).
Les deux partenaires prévoient de conclure de nouvelles transactions portant sur un portefeuille supplémentaire d’environ 400 MW en Espagne et au Portugal dans les semaines à venir.
Des chercheurs espagnols ont créé un nouvel indice qui aiderait les développeurs de projets à identifier les meilleures zones dès les premières étapes du développement des centrales hybrides éolien-solaire. L’approche proposée est censée éviter les lacunes des critères précédents et les surestimations causées par des délais temporels.
Producteur indépendant français d’électricité renouvelable, le groupe Générale du Solaire lance une campagne de financement participatif d’un million d’euros, déplafonnable jusqu’à 3 millions d’euros, en direction des investisseurs.
Le premier projet solaire flottant d’ampleur en Bourgogne-Franche-Comté est lancé, avec la pose, il y a moins d’une semaine, du premier flotteur de la future centrale flottante des Gravières de l’Arroux.
Le pays a installé environ 1 GW de solaire en 2024, égalant les niveaux de 2022 après un record en 2023.
Cette réalisation marque l’entrée de l’entreprise Générale du Solaire sur le marché du solaire flottant. Le projet a été développé, financé et construit par l’IPP français tandis que les caractéristiques techniques, notamment au niveau des flotteurs et de l’ancrage, ont été confiées au spécialiste Ciel & Terre.
Le professeur Mark Z. Jacobson de l’Université de Stanford a parlé à pv magazine de ses recherches récentes montrant que la Californie pourrait facilement dépendre d’un réseau électrique majoritairement alimenté par l’éolien, l’hydroélectricité et le solaire. Il explique que les prix actuels de l’électricité dans l’État sont élevés pour plusieurs raisons qui n’ont rien à voir avec les énergies renouvelables. Parmi celles-ci figurent les prix élevés du gaz fossile et le coût de la modernisation des lignes de transmission et de distribution vieillissantes, entre autres.
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