Le projet Wayra promu par l’énergéticien français sera situé dans la réserve du parc éolien de Taltal, en bordure du désert d’Atacama, et combinera plusieurs sources d’énergie et une unité de stockage.
Le fabricant allemand d’onduleurs pour installations photovoltaïques SMA Solar Technology a publié ses résultats annuels pour 2021 qui montrent un chiffre d’affaires en baisse de 4 %, en raison de la situation internationale tendue et d’un contrat onéreux portant sur des services de gestion technique et de maintenance de centrales photovoltaïques, dont il s’est désengagé.
Sun’Agri fournira un support technique pour la prospection, des prestations d’études, ainsi que les services de pilotage des persiennes solaires et de suivi agronomique, tandis que de son côté, Qair développera ses projets pour en être propriétaire et vendra l’électricité verte produite par la structure agrivoltaïque.
Jean Lassalle, du parti Résistons !, prône un investissement dans les énergies marines et le photovoltaïque, mais veut stopper l’éolien. Sa politique énergétique repose avant tout sur le développement du nucléaire de 4e génération et sur la fusion.
Pour le candidat de Debout la France, « une politique tournée vers l’éolien et le photovoltaïque ne pourra jamais tenir ses promesses ». C’est pourquoi il veut refaire du nucléaire français « une filière indépendante et d’excellence », en misant sur les réacteurs de 4e génération et la fusion nucléaire.
Pour Marine Le Pen, candidate du Rassemblement national (RN), le développement du photovoltaïque devrait faire l’objet d’un moratoire, tandis que les parcs éoliens seront démantelés. Pour garantir une énergie décarbonée et redonner du pouvoir d’achat aux Français, son programme énergétique passe par la fin des subventions dans les EnR, une relance du nucléaire et de l’hydroélectricité et la recherche dans l’hydrogène pour la mobilité.
La candidate du Parti socialiste veut atteindre 100 % de ressources renouvelables dans le mix énergétique « aussi rapidement que possible » et promet des mesures en faveur de la finance verte. Mais son programme reste très vague sur le rythme de déploiement des nouvelles capacités et les investissements.
Yannick Jadot a accepté de répondre aux questions de pv magazine France sur sa politique énergétique. Le candidat d’Europe Écologie Les Verts (EELV) vise un minimum de 25 GW de puissance installée en plus de photovoltaïque à la fin de son mandat, ainsi qu’un plan d’investissement public de 25 milliards d’euros supplémentaires par an dans les infrastructures de la transition énergétique.
Entre atteinte des objectifs climatiques et nécessité de renforcer la souveraineté, le prochain mandat sera crucial pour la trajectoire énergétique de la France. Toute cette semaine, pv magazine France vous propose donc un décryptage des programmes des candidats à l’élection présidentielle en matière de développement des énergies renouvelables, et plus spécifiquement du solaire. Pour débuter cette série, nous faisons le point sur les propositions de Emmanuel Macron, de La République En Marche, qui pose des objectifs pour 2050 en termes de nucléaire et d’énergies renouvelables.
La centrale photovoltaïque d’une puissance installée de 12 MWc vient renforcer les capacités de production d’électricité renouvelable de la commune de Le Pouzin en Ardèche qui accueille déjà sur son territoire un parc photovoltaïque, un parc éolien et une petite centrale hydraulique construits par CNR. Grâce à cette énergie 100 % renouvelable, cette commune de 2 800 habitants produit aujourd’hui l’équivalent de la consommation électrique de 28 000 personnes.
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