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Le pays des cèdres envisage de déployer des parcs solaires d’une capacité totale d’environ 1 GW. Le dernier projet planifié par le gouvernement libanais est une centrale solaire de 500 MW qui devrait être située dans la région de Tufail, à l’est du pays et entourée par le territoire syrien, touché par la guerre.

Le consortium, qui comprend Masdar, basé aux Émirats arabes unis, et le producteur d’énergie indépendant marocain Green of Africa, prévoit de commencer les travaux de construction d’ici la fin de l’année. Le projet fait partie de ceux réalisés par l’Agence marocaine pour l’énergie solaire (MASEN) dans le cadre du plan solaire Noor, dont le but est de développer une capacité de 2 GW d’ici 2020.

Selon les autorités chinoises, 168 projets photovoltaïques seront développés dans 16 provinces sans aucune subvention du gouvernement central. Le fait que la capacité moyenne de ces projets ait chuté indique que le projet de Pékin est sur la bonne voie pour accélérer l’arrivée de l’énergie solaire sans tarif d’achat.

439 MW ont été raccordés au premier trimestre 2019 en France, dont 243 MW d’énergie éolienne et 157 MW d’énergie photovoltaïque. Ces deux filières représentent 91 % de la puissance nouvellement raccordée et 46,6 % des capacités totales renouvelables. Il s’agit d’« un petit record » pour Richard Loyen, le directeur général d’Enerplan.

L’électricité produite par la centrale flottante alimentera le parc aquatique Cable Park, et injectera le surplus d’énergie dans le réseau. Le projet fait partie d’une série d’installations flottantes que le gouvernement flamand soutient depuis octobre.

C’est un PPA de 25 ans que développeur français Voltalia a obtenu pour un projet solaire de 5 MW. L’acheteur de l’électricité est la société Boulanger, spécialiste des produits et services d’équipements en électroménager et multimédia.

Composée de 127 800 panneaux, la centrale serait « le plus grand parc photovoltaïque de Normandie », d’après les acquéreurs.

Il s’agit du 8e projet flottant issu de la collaboration de l’entreprise française Terre&Ciel avec EBJ, une filiale de Osaka Gas Company, et JFE Plant Engineering Corporation au Japon.

Depuis ce début d’année, le total des acquisitions de Tenergie s’élève à environ 160 MW. Son objectif ? 1 GW à la fin de 2020 et devenir le premier développeur indépendant en France.
La dernière transaction a été supervisée par la société de conseil en finance Augusta & Co, qui, elle aussi, multiplie les opérations dans le domaine des énergies renouvelables.

Ce projet dans le gouvernorat de Tatouine a été retenu dans l’appel d’offres de 70 MW que le gouvernement tunisien a lancé en mai 2017.