La filiale australienne d’Engie est en train de constituer un fonds pour développer l’énergie propre en Australie au cours des dix prochaines années. Cette décision intervient malgré une politique fédérale creuse en matière d’énergie qui, selon les experts de l’industrie, décourage l’investissement.
Aux Pays-Bas, le promoteur du projet a réalisé des installations photovoltaïques flottantes d’une capacité cumulée de près de 25 MW. D’autres parcs solaires flottants d’une puissance totale d’environ 100 MW sont déjà en projet dans plusieurs pays européens.
Le dispositif de soutien aux projets d’énergie renouvelable porté par les citoyens et les collectivités, EnRciT, vient d’effectuer ses deux premiers investissements : l’un dans le parc photovoltaïque de Jausiers dans les Alpes-de-Haute-Provence, l’autre dans un parc éolien d’Ichy en Seine-et-Marne.
Pendant longtemps, les modules bifaciaux étaient considérés comme des curiosités technologiques sans application pratique. Les deux dernières années ont démontré que cette technologie est en passe de devenir incontournable sur un grand nombre de marchés. En 2018, les modules bifaciaux représentaient déjà 10 % des nouvelles installations et, selon la plate-forme d’études de marché Tayiang, ils devraient représenter 40 % du marché mondial au cours de la prochaine décennie. Comme souvent avec le solaire, ces prédictions pourraient s’avérer bien en deçà du réel d’ici quelques années !
La centrale en ombrières occupera les deux tiers du parc d’expédition du site du constructeur automobile, à Sochaux, en Bourgogne-Franche-Comté. Sa mise en service est prévue pour 2021. La capacité de l’installation pourrait atteindre 30 MWc à terme.
La Hongrie lance aujourd’hui son premier appel d’offres pour les énergies renouvelables. Les participants ont jusqu’au 12 décembre pour soumettre leurs propositions. Les résultats seront publiés au début de l’année prochaine. En Slovaquie, un appel d’offres pourrait être lancé cette année, dont la part de la capacité solaire sera importante.
Le 30 octobre, la Direction Générale du Trésor a dévoilé la liste des projets lauréats de l’appel d’offres « Solutions innovantes pour la ville durable en Afrique ». Parmi les 226 candidatures déposées, 21 projets ont été sélectionnés, dont un certain nombre exploite la technologie photovoltaïque. Chacun bénéficiera d’un financement de 500 000 € octroyé par le Fonds d’études et d’aide au secteur privé.
La PPE (Programmation Pluriannuelle de l’Énergie) révisée – dont l’adoption finale devrait intervenir dans les prochaines semaines – prévoit l’augmentation par 5 à 6 des capacités de production d’électricité solaire installées sur les toits d’ici à 2028. La loi Énergie-Climat, qui va entrer en vigueur d’ici la fin novembre apporte des premières avancées pour faciliter le développement du photovoltaïque au-dessus de nos têtes. Mais la simplification des mesures d’urbanisme pour les ombrières de parking et l’imposition d’une couverture de 30 % de la surface des nouvelles toitures commerciales par une installation d’énergie renouvelable ne seront pas suffisantes, loin s’en faut !
Deux projets photovoltaïques de 40 MW chacun devraient être réalisés dans le cadre du programme Projet de Promotion des Énergies Renouvelables (PROLER) mis en œuvre avec le soutien de la compagnie d’électricité mozambicaine Electricidade de Mocambique (EDM), qui est probablement le futur acheteur de l’énergie générée.
En Île-de-France, la Région s’engage à investir 10 milliards d’euros dans les cinq prochaines années pour accélérer la transition écologique.
This website uses cookies to anonymously count visitor numbers. To find out more, please see our Data Protection Policy.
The cookie settings on this website are set to "allow cookies" to give you the best browsing experience possible. If you continue to use this website without changing your cookie settings or you click "Accept" below then you are consenting to this.