Au sud de l’agglomération grenobloise, des bénévoles ont créé une entreprise citoyenne pour équiper gratuitement des foyers modestes de panneaux photovoltaïques de seconde main. Objectif : favoriser l’autoconsommation et lutter contre la précarité énergétique.
Au Sénégal et au Ghana, une nouvelle étude de l’Alliance pour l’électrification rurale estime qu’avec la mise en œuvre de politiques appropriées, le secteur de l’énergie renouvelable décentralisée a le potentiel de créer jusqu’à 40 000 emplois directs d’ici 2030 dans les deux pays.
La Commission européenne a déclaré la semaine dernière qu’elle avait donné son feu vert à un programme de 5,7 milliards d’euros destiné à l’Italie pour développer des communautés d’énergie renouvelable d’une taille maximale de 1 MW.
Le Portugal ne compte que trois communautés énergétiques en activité, malgré une demande massive
En 2018 et 2019, la Commission européenne a commencé à établir les règles pour les communautés de partage d’énergie, le Portugal déployant sa propre législation peu de temps après. Malgré ces efforts, cinq ans plus tard, seules trois communautés de partage d’énergie fonctionnent légalement dans le pays, et des centaines d’autres sont bloquées par un retard réglementaire d’un an, explique un ingénieur local à pv magazine.
CEI Afrique a annoncé son intention d’accorder une subvention de financement basée sur les résultats (FBR) au développeur de mini-réseaux solaires malgache WeLight pour étendre cinq de ses mini-réseaux PV et en construire quatre nouveaux au Mali.
A Toulon, l’association Souriez vous pédalez a mis au point un prototype de remorque logistique en alimentation électrique (220V, 12V, 5V) à partir d’énergie solaire photovoltaïque. La solution, qui intègre une batterie lithium phosphate, est utilisée dans le cadre d’une animation de borne photographique au profit des cyclistes et vélo-touristes et pour sensibiliser le public sur l’intérêt et les utilisations des énergies renouvelables.
Au Kenya, la société Inno Neat a mis au point un filtre à eau alimenté à l’énergie solaire qui élimine les contaminants tels que les bactéries, les virus et les métaux lourds à destination des communautés rurales.
La société américaine a annoncé un accord de financement 96 millions d’euros (40 millions d’euros de capitaux propres et de 56 millions de dette), soit un record pour le secteur des mini-réseaux solaires. Le tour de table a été mené par le fonds français STOA et a également mobilisé l’agence de développement française Proparco.
L’énergie solaire sera mise à disposition des locataires d’un projet immobilier d’activités commerciales. La centrale en toiture initiale de 660 KW devrait être mise en service au printemps 2024 et pourrait être complétée par d’autres installations solaires dans les prochaines années.
La solution hors réseau permet une réfrigération continue jusqu’à 4 jours grâce à ses modules solaires, un stockage sous forme de glace et des batteries lithium-ion. L’unité est livrée en location (système PAYG) avec 2 ampoules d’éclairage LED et des ports USB pour recharger les téléphones portables.
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