Créée en 2009, l’entreprise de 15 personnes spécialisée dans le photovoltaïque, l’éolien et l’hydroélectrique en Occitanie, opère plus de 30 MW de centrales solaires, éoliennes et hydroélectriques et dispose d’un pipeline d’environ 250 MW de projets à déployer sur les sept à huit prochaines années.
Le développeur de centrales solaires en Bretagne et dans le Grand Ouest accueille deux investisseurs régionaux pour accompagner sa forte croissance et poursuivre sa stratégie de diversification de sa clientèle vers les marchés des collectivités et des entreprises.
Jusqu’au 12 avril, les parties prenantes au développement de l’énergie solaire (fabricants, développeurs, installateurs, consommateurs…) sont invitées à apporter leur contribution au débat.
Cette campagne est la troisième de quatre opérations programmées avec le développeur. Les deux premières campagnes ont permis de collecter plus de trois millions d’euros. La dernière campagne sera lancée ultérieurement, pour un objectif global de 6,5 millions d’euros. Toutes participent au financement du développement de ses projets photovoltaïques pour une puissance cumulée de 46 MWc.
Situé dans le Puy de Dôme, le parc Camelia d’une puissance de 100 kWc est conçu pour s’adapter à une activité agricole, tout en ayant une empreinte au sol minimale. L’objectif de cette expérimentation d’une durée de cinq ans est d’étudier l’impact de l’installation de panneaux solaires bifaciaux verticaux sur un pâturage et sur la production électrique
Les projets sélectionnés bénéficieront d’un tarif fixe de 0,2091 ILS (0,059 euro)/kWh sur une période de 23 ans.
Eiffel Investment Group prévoit de lever un fonds dédié d’une taille cible de 200 millions de dollars, avec l’appui d’investisseurs publics et privés institutionnels, afin de fournir aux développeurs des solutions rapides de financement pour achever leurs projets.
Le label Projet Agrivoltaïque de Classe A sur culture d’AFNOR Certification a pour objectif de définir l’ensemble des éléments constitutifs et des modalités de délivrance du label aux projets agrivoltaïques, dans un contexte de fort développement de la filière et de pression sur le foncier.
Ce mardi 4 janvier, le Sénat a adopté une résolution qui “invite le Gouvernement à lever les freins législatifs et réglementaires au développement de l’agrivoltaïsme et à donner un nouvel essor à cette filière” et qui propose quatre mesures phares. Le lendemain, Barbara Pompili a pu s’exprimer sur le sujet à l’occasion de son audition par la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable du Sénat.
Après une première année d’étude, l’INRAE a observé sous panneaux un maintien de production cumulée de biomasse, avec un étalement de la ressource fourragère sur toute l’année.
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