Solar Cloth développe des modules photovoltaïques flexibles à partir de cellules CIGS (cuivre, indium, gallium et sélénium), sans verre et présentant une emprunte carbone près de 50 % inférieur au silicium, selon son président-fondateur Alain Janet avec qui pv magazine France s’est entretenu. L’occasion aussi de faire le point sur le projet de création d’une ligne de production de cellules CIGS en France en 2023 et les contrats de la société sur des applications innovantes en VIPV et en agrivoltaïsme notamment.
Des chercheurs allemands ont mené une étude sur la manière dont les systèmes photovoltaïques verticaux pourraient être en mesure de fournir davantage d’électricité au réseau en période de forte demande, avec l’avantage d’être mieux intégrés aux activités agricoles que les centrales au sol classiques.
Face à des temps d’instruction des dossiers qui frôlent les huit ans et à des recours quasi-systématiques, certains développeurs de parcs éoliens augmentent leurs capacités dans le solaire. Pas question pour autant d’abandonner totalement l’éolien, les deux sources d’énergie étant vues comme complémentaires. pv magazine France a mené l’enquête auprès de plusieurs d’entre eux.
Après avoir enregistré une très forte croissance ces dernières années, l’entreprise basée dans les Hauts-de-France concentre son développement notamment sur l’international et sur le renforcement de son activité dans les hangars et les toitures agricoles.
Les nouvelles dispositions font partie de la nouvelle version de la loi sur les énergies renouvelables du pays, qui a été approuvée le 7 juillet par le Parlement allemand.
Compte-tenu de la proximité entre les exploitations agricoles et les autoroutes à certains endroits, des chercheurs américains assurent que l’installation de parcs agrivoltaïques pour alimenter des stations de recharge des véhicules électriques permettrait de réduire à la fois les émissions de CO2 et l’inquiétde des conducteurs face au risque de ne pas trouver de station de recharge à temps.
L’objectif des deux acteurs sera de mettre en place des projets d’agrivoltaïsme, avec les synergies associées, tout en assurant un cadre de développement rigoureux : larges démarches de participation et de concertation, études d’impact environnementales et techniques, études et conventions agricoles, modèles économiques non subventionnés…
Paru au Journal officiel, le « décret n° 2022-970 » simplifie les évaluations environnementales des projets solaires. Ne seront plus soumis les projets au sol inférieurs à 300 kW, et au cas par cas les installations de moins d’1MW. Les ombrières solaire sont également officiellement dispensées d’évaluation.
35 agriculteurs des Landes ont décidé de changer leurs pratiques agricoles pour s’adapter à la faible qualité de l’eau de leur nappe phréatique. Pour compenser la baisse de rendement, ils ont opté pour une solution agrivoltaïque. Les revenus tirés de la location des terrains seront mutualisés et reversés à tous les agriculteurs de l’association. pv magazine France s’est entretenu avec Jean-Michel Lamothe pour qu’il nous parle du modèle économique de ce projet.
Composé de deux structures équipées de panneaux solaires agrivoltaïques et comprenant 52 modules solaires bifaciaux, le site accueille, depuis le mois de mars 2022, des cultures de houblon. Un suivi du rendement et des caractéristiques climatiques est prévu sur deux ans et le projet vise à terme une superficie de 35 hectares, pour une puissance potentielle de 20 MWc.
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