Le parlement allemand a approuvé le “Solarpaket 1”, un paquet de mesures qui comprend des tarifs de rachat plus élevés pour les projets solaires commerciaux et industriels (C&I) et de nouvelles mesures liées à la taille des installations éligibles dans les appels d’offres à grande échelle.
En l’absence de cadre réglementaire et normatif, les développeurs solaires se trouvent parfois juges et partis de leurs impacts puisqu’il leur incombe d’évaluer l’efficacité des mesures mises en place pour la biodiversité notamment. Plusieurs études publiques ont été lancées en 2023 et les développeurs devraient bientôt pouvoir compter sur un protocole de suivi standardisé pour les actifs au sol, développé en partenariat avec le SER et ENERPLAN.
L’ombrière de trois hectares vise à protéger les cultures de blé, mais aussi de luzerne et d’orge, des aléas climatiques, en particulier des fortes variations de températures, des longues périodes sans eau et des épisodes très pluvieux ou de grêle.
La société d’économie mixte développe actuellement plusieurs projets photovoltaïques en autoconsommation et en injection, afin d’atteindre les objectifs de son “Plan Solaire” qui vise 11 MW supplémentaires de PV à Mayotte d’ici à 2025, principalement en toitures.
La feuille de route qui définit les grandes orientations énergétiques de la France pour 2035 sera adoptée par décret par « souci d’efficacité » et non pas par la loi pour éviter une « guerre de religion » entre pro-nucléaire et pro-renouvelables. Le Syndicat des énergies renouvelables (SER) et les associations environnementales regrettent ce passage en force et l’absence de débat parlementaire.
Pour l’organisation syndicale, l’agrivoltaïsme entraîne une perte d’autonomie dans la pratique agricole et a un impact sur les prix et la disponibilité du foncier. Elle estime que le décret, en l’état, ne protège pas suffisamment les agriculteurs, notamment sur les rendements.
A l’occasion de la sortie du décret sur l’agrivoltaïsme, pv magazine France est revenu avec Nicolas Ferras, directeur Agri-énergies de TotalEnergies, sur le développement de l’énergéticien dans ce secteur et sur l’intégration d’Ombrea qui lui a permis de constituer un pôle de compétences, en particulier dans la gestion des données et des algorithmes.
La plupart des acteurs de la filière se disent satisfaits de ce premier cadre réglementaire qui va permettre de constituer un référentiel commun entre agriculteurs, développeurs et services de l’Etat. Ils rappellent toutefois que de nombreux points restent à préciser, notamment en matière de contrôles et d’élevage.
Après de longs mois d’attente, le décret sur l’agrivoltaïsme a été publié ce 9 avril au Journal officiel. Comme attendu, il précise notamment les conditions d’implantation de panneaux photovoltaïques sur les surfaces agricoles en tenant compte du taux de couverture et de la perte de rendement agricole acceptable. Toutefois, de nombreuses dispositions réglementaires sont encore attendues, notamment la liste des technologies dites éprouvées qui doit encore être finalisée.
A ce jour, 29 entreprises – développeurs solaires et grands donneurs d’ordres – ont signé le pacte solaire présenté le 5 avril. A ce titre, elles s’engagent à acheter à partir de 2025 au minimum 30 % de panneaux photovoltaïques auprès de fabricants ayant réalisé une ou plusieurs étapes de production en Europe. Ces produits seront identifiés par un « InduScore », semblable au Nutriscore de l’agroalimentaire.
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