Une équipe de chercheurs allemands affirme avoir atteint la tension en circuit ouvert la plus élevée jamais enregistrée à ce jour pour une cellule solaire pérovskite basée sur le chlorure de plomb méthylamine hybride (MAPbCl3). Le nouvel absorbeur pérovskite a été fabriqué à l’aide d’une méthode de dépôt en deux étapes et d’un recuit sous azote moléculaire (N2).
Le fabricant chinois de modules a dirigé une équipe de recherche internationale pour concevoir un dispositif photovoltaïque à hétérojonction plus fin, résolvant les problèmes de rendement et de fragilité. La cellule a atteint un rendement de conversion d’énergie certifié de 26,06 % pour une épaisseur de 57 μm, un résultat confirmé par l’Institut allemand de recherche sur l’énergie solaire.
Développée par des chercheurs de l’Institut coréen de recherche sur l’énergie (KIER), cette nouvelle cellule a été conçue pour des applications dans des dispositifs photovoltaïques tandem pérovskite-silicium bifacial. Les universitaires affirment qu’ils ont réussi à surmonter un mécanisme de dégradation interne intrinsèque induit par le dopant, qui entraîne une diffusion indésirable de l’ion lithium préjudiciable à l’efficacité de la cellule.
L’institut de recherche allemand étudie l’utilisation d’équipements d’évaporation sous vide disponibles dans le commerce pour fabriquer des couches minces de pérovskite et des couches de contact dans la fabrication de cellules tandem pérovskite-silicium.
Une cellule solaire pérovskite flexible entièrement imprimable atteint un rendement de 17,6%.
Développée par des scientifiques canadiens, la cellule solaire de 0,049 cm2 a été fabriquée à air ambiant et avec un réactif connu sous le nom de chlorure de phényltriméthylammonium (PTACl). Elle a atteint une tension en circuit ouvert de 0,95 V, une densité de courant en court-circuit de 23 mA cm-2 et un facteur de remplissage de 80 %.
Verde Technologies, une entreprise américaine issue de l’Université du Vermont et spécialisée dans les technologies solaires pérovskites à jonction unique et à couches minces en tandem, a démontré que ses procédés de revêtement sont transférables aux lignes de fabrication commerciales existantes de rouleau à rouleau dans le cadre d’un projet avec le fabricant compatriote Verico Technology.
Si la Chine reste en première ligne des progrès technologiques, la R&D française est capable de fournir des innovations sur les processus de fabrication et sur les technologies photovoltaïques couches minces. Pour le tandem-pérovskite, au coeur des projets de gigafactories, on mise sur des technologies (quasi)-matures. Pour le CIGS et le PV organique qui sont développés dans les plus petites lignes, il faut structurer des filières spécifiques.
Alors qu’en France, plusieurs projets de production de cellules et de modules solaires ont été annoncés pour 2025 à 2027, l’innovation technologique continue d’être dominée par les fabricants Tier 1 chinois. De fait, les futures usines françaises sont-elles condamnées à courir sans cesse derrière leurs concurrents ou peuvent-elles trouver des éléments de différenciation ?
Le département des transports du Minnesota évalue actuellement la possibilité d’associer la production d’électricité aux barrières pare-neige utilisées pour protéger les routes.
Le module dispose de 96 cellules à hétérojonction et est disponible en cinq puissances, allant de 300 Wc à 320 Wc pour une transparence de 39 %. A ce titre, il est adapté à l’horticulture maraîchère, à l’arboriculture et à la floriculture.
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