La Commission de régulation de l’énergie a annoncé qu’elle traitera désormais les dossiers de candidature au fur et à mesure de leur réception et invite tous les porteurs de projets innovants, faisant face à un obstacle législatif ou réglementaire susceptible d’entrer dans le périmètre du « bac à sable », à déposer leurs dossiers sur la plateforme dédiée.
Grâce à un protocole d’accord avec le producteur de semi-conducteurs organiques Raynergy Tek, la société va intégrer de nouvelles technologies à ses solutions solaires organiques (OPV) et améliorer de près de 40 % les rendements de son produit industriel actuel en atteignant les 70 watts par mètre carré.
Des scientifiques japonais ont décrit toutes les étapes à suivre pour améliorer le rendement moyen des modules solaires CIGS, d’environ 18,5 % actuellement à plus de 20 %. Ils ont passé en revue tous les facteurs techniques clés qui entravent aujourd’hui l’adoption plus large de cette technologie sur le marché.
Selon Masdar, les exportations annuelles d’hydrogène africain pourraient s’élever à 40 millions de tonnes d’ici à 2050, tandis que des chercheurs israéliens ont publié une nouvelle étude sur les caractéristiques de décharge de produits intermédiaires oxydés formés dans des conditions de photo-oxydation de l’eau.
Trois chercheurs de l’Université KU Leuven à Louvain en Belgique ont mis au point des panneaux de toits qui captent l’humidité de l’air pour la convertir en hydrogène. Ils se préparent maintenant à commercialiser cette technologie à partir de 2026.
La start-up française veut récolter un million d’euros sur la plateforme Tudigo pour se lancer en Allemagne et aux Etats-Unis avec sa gamme de produits à énergie solaire concentrée qui va du briquet au chargeur solaire, en passant par le sécheur et le cuiseur thermique.
32 % de l’investissement public a concerné les nouvelles technologies de l’énergie, dont 60,5 millions d’euros pour le solaire photovoltaïque, sachant que le nucléaire reste le premier poste de dépense, à 56 % et en très forte hausse en 2021 (+ 25 %). Les chiffres du Service des données et études statistiques (SDES) montrent que les dépenses pour les énergies renouvelables stagnent à 188 millions d’euros en 2021 et ce depuis une chute marquée en 2017.
La start-up basée à Ronchin (Nord) affirme que son système peut produire 40 % d’énergie en plus que les panneaux solaires seuls sur les toits. Elle teste actuellement le dispositif et prévoit de le commercialiser d’ici à fin 2023.
Le fabricant de module français et le centre de recherche sont en montage financier pour industrialiser une nouvelle technologie tandem dit « 4T », qui consiste à déposer une couche mince pérovskite sur verre et à intégrer l’ensemble à une cellule silicium standard en sous-couche. Selon l’IPVF, la solution pourrait atteindre un rendement de 30%. Le projet industriel vise à produire 5 GW d’ici 2030, avec une ligne pilote en 2023 et un démonstrateur en 2025.
Radovan Kopecek, expert en technologie IBC (contact arrière interdigité), estime que les panneaux solaires IBC pourraient concurrencer les produits TOPCon et a expliqué à pv magazine comment cette transition pourrait se concrétiser et a évoqué les avancées technologiques qui pourraient la rendre possible.
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