La filière se réjouit d’avoir été entendue sur la non-rétroactivité des mesures, le gel jusqu’au 1er juillet du tarif du segment 100 à 500 kWc et la perspective de voir mis en place rapidement des appels d’offres simplifiés. Mais d’autres annonces restent cependant très défavorables pour le solaire photovoltaïque.
La bonne nouvelle porte sur l’absence de rétroactivité : les modifications liées au S21 n’entreront en vigueur qu’à partir du 27 mars et non au 1er février. Toutefois, si le secteur du solaire BtoB (supérieur à 100 kWc) a obtenu des concessions sur le principe de dégressivité des tarifs, celui du solaire résidentiel craint pour l’avenir des petits installateurs en attendant la mise en application de la TVA à 5,5 % qui n’interviendra qu’au mois d’octobre.
BePositive, le salon des professionnels de la transition énergétique, se tient à Eurexpo jusqu’au 27 mars. Dans un contexte d’incertitude réglementaire, les fournisseurs de solutions de pilotage et de stockage espèrent tirer leur épingle du jeu. De nouvelles informations sur le contenu du futur arrêté S21 sont attendues ce mercredi 26 mars.
Personne ne bouge dans le secteur de l’agrivoltaïsme dans l’attente de l’issue de la proposition de loi (PPL) dite “Lecamp” déposée le 13 février dernier et qui rebattrait les cartes dans le secteur si elle était adoptée. Elle prévoit notamment un plafond de puissance de 5 MW sur les projets agri-PV et de nouvelles modalités sur les baux et le partage de la valeur. Echanges avec la filière agrivoltaïque dans l’attente de confirmation (passage en vote à l’Assemblée, amendements ou abandon du texte) !
Compte-tenu de son fort ensoleillement, le Maroc a le potentiel pour développement jusqu’à 4,35 GW de capacité photovoltaïque en 2028, selon les estimations de l’association européenne. Toutefois, le pays doit encore accentuer ses efforts en matière de réglementations et d’incitations fiscales et financières.
Le groupe francilien TSG poursuit son expansion en énergies renouvelables, par croissance externe, en intégrant Ecosun Expert.
La principale source de production du mois était le nucléaire (22,1 %), suivi de l’hydroélectrique (20,2 %), de l’éolien (17,3 %), du photovoltaïque (14 %) et du cycle combiné (13,8 %). De plus, 237 GWh ont été fournis aux installations de stockage et 1 214 GWh ont été programmés pour l’exportation d’énergie vers les pays voisins.
Après avoir été exonérée d’accise jusqu’à 1 MWc il y a un peu plus d’un mois, l’autoconsommation collective voit le seuil de puissance maximale de ses opérations passer de 3 à 5 MWc en métropole continentale.
Entre l’application de la TVA réduite et la baisse rétroactive des subventions solaires, un délai de huit mois risque de mettre à mal le secteur de la petite centrale en autoconsommation. Le GPPEP, qui défend ces producteurs particuliers, alerte sur les risques pour les ménages souhaitant s’équiper, mais aussi pour ceux déjà installés, qui pourraient se retrouver sans interlocuteur pour l’entretien ou la réparation de leur installation. Entretien avec Joël Mercy, président de l’association.
Le gouvernement préparerait une nouvelle version de l’arrêté, intégrant certaines propositions apportées par Enerplan et le Syndicat des énergies renouvelables (SER) comme base de compromis, à commencer par une accélération de la mise en place de l’appel d’offres simplifié et un gel du tarif à 95 €/MWh pour le segment >100 kWc jusqu’au basculement en OA simplifié.
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