La Commission européenne s’est fixée comme objectif de relocaliser 40 % de la production photovoltaïque en 2030. Mais alors que les prix des produits chinois sont tirés vers le bas, les propositions de mesures pour protéger l’industrie européenne ne font pas l’unanimité et leur application risque de prendre du temps.
La formation est divisée en cinq modules (Performance Énergétique et Environnementale des Bâtiments, Outils de la Transition Énergétique et Environnementale, Solaire photovoltaïque, Solaire thermique, Management de projets en énergie solaire et efficacité énergétique : aspects juridiques et économiques) et sera diplômante via la Validation des acquis de l’expérience (VAE).
Le marché européen des contrat d’achat d’électricité de gré à gré (PPA) a bondi de 40 % en 2023 avec 10,4 GW de nouvelles capacités renouvelables visées, dont 6,1 GW pour le photovoltaïque. Selon les chiffres de l’alliance RE-Source, la France arrive deuxième dans le palmarès des PPA solaires en cumulé avec 1,8 GW, contre 5 GW en Espagne.
Si la Chine reste en première ligne des progrès technologiques, la R&D française est capable de fournir des innovations sur les processus de fabrication et sur les technologies photovoltaïques couches minces. Pour le tandem-pérovskite, au coeur des projets de gigafactories, on mise sur des technologies (quasi)-matures. Pour le CIGS et le PV organique qui sont développés dans les plus petites lignes, il faut structurer des filières spécifiques.
L’installation au sol de 14 MW a été inaugurée par le président du groupe français et le ministre de l’Énergie et des Utilités Publiques de l’Etat insulaire et marque le lancement d’une division « Austral » au sein de GreenYellow.
Alors qu’en France, plusieurs projets de production de cellules et de modules solaires ont été annoncés pour 2025 à 2027, l’innovation technologique continue d’être dominée par les fabricants Tier 1 chinois. De fait, les futures usines françaises sont-elles condamnées à courir sans cesse derrière leurs concurrents ou peuvent-elles trouver des éléments de différenciation ?
L’IPP français a vendu ses activités au groupe Axian avec lequel il exploitait, en co-entreprise, un portefeuille photovoltaïque de 46 MW à Madagascar. Au Burkina Faso il lui cède ses parts majoritaires dans la centrale de Nagréongo (30MW).
Le projet vise dans un premier temps des sites de stockage de déchets non dangereux et permettrait de déployer quelque 300 MW de capacité solaire avec des premières mises en service à partir de 2027.
Alerté par les syndicats solaires, le gouvernement prévoit un arrêté modificatif afin d’éviter la baisse brutale des tarifs et primes résultant de l’application de la formule de base à laquelle s’appliquait un coefficient dégressif d’urgence de 10,2 % reconduit depuis deux trimestre. L’arrêté tarifaire modificatif devrait sécuriser la rentabilité des petites centrales solaires en toiture.
Les actionnaires historiques Bpifrance et RGreen Invest participent à la levée de fonds au côté d’un nouvel entrant, Swen Capital Partners, qui entend notamment diversifié son investissement dans les énergies renouvelables. L’IPP revendique un portefeuille solaire en exploitation de 40 MW sur différents marchés et un large éventail de projets en développement ou prêts à construire pour lesquels il utilisera sa nouvelle enveloppe.
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