La PME spécialisée dans la commercialisation de fruits rouges s’est associée à Photosol et à Insolight pour développer un démonstrateur agrivoltaïque de 299 kWc dans l’Aisne. L’objectif : augmenter le rendement agricole et générer des revenus supplémentaires avec la vente d’électricité pour réintroduire la production de fruits rouges dans l’Hexagone.
Offre « clé en main » incluant la garantie de performances et la maintenance de l’installation, le tiers investissement séduit de plus en plus de clients institutionnels, industriels et tertiaires. Mais la mobilisation du foncier sur une très longue période peut aussi susciter des réticences.
L’appel d’offres porte sur deux projets de production d’électricité à partir de l’énergie solaire photovoltaïque de capacité individuelle par projet plafonnée à 100 MWac. Les promoteurs ont jusqu’au avant le 28 février pour manifester leur intérêt puis jusqu’au 30 avril pour transmettre leur offre.
Octopus fait l’acquisition du portefeuille de 21 projets développés en Nouvelle-Aquitaine, Centre-Val de Loire et Auvergne-Rhône-Alpes par OX2 France et totalisant environ 450 MW, principalement dans le domaine de l’agrivoltaïsme. Grâce à cela, le Britannique espère doubler sa capacité photovoltaïque actuelle dans l’Hexagone.
Cette réalisation marque l’entrée de l’entreprise Générale du Solaire sur le marché du solaire flottant. Le projet a été développé, financé et construit par l’IPP français tandis que les caractéristiques techniques, notamment au niveau des flotteurs et de l’ancrage, ont été confiées au spécialiste Ciel & Terre.
L’opération, réalisée auprès de plusieurs partenaires historiques se compose d’une dette senior de 177 millions d’euros et d’une dette junior de 24,5 millions d’euros. Elle permettra la construction de 27 centrales solaires d’une puissance totale de 177 MW et de contrats d’autoconsommation.
Ces deux dernières années, l’autoconsommation a changé de braquet en France, portée par la hausse des prix de l’énergie, mais aussi la réglementation en ce qui concerne les entreprises. Tout l’enjeu de la filière est maintenant de garder ce rythme de croissance pour massifier les capacités installées.
L’organisation syndicale agricole, qui récuse la notion d’agrivoltaïsme, exige l’interdiction des centrales photovoltaïques sur toutes les terres agricoles, naturelles et forestières. D’autant que, selon elle, les gisements sur les toitures et les surfaces déjà artificialisées seraient déjà suffisants « pour dépasser les objectifs de la France en matière de production d’énergie photovoltaïque ».
Face à la montée des coûts de l’électricité et aux exigences en matière de réglementation, les entreprises cherchent des moyens efficaces de réduire leurs dépenses tout en améliorant leur empreinte carbone. Comme le confirment Gilles Lemagnen de GoodWe et Edouard Roblot de Idex, le secteur commercial et industriel (C&I) en France représente donc un potentiel considérable pour l’intégration de solutions solaires, avec et sans stockage.
L’opération permet à Enoé de finaliser, de concert, le bouclage de deux opérations d’acquisition d’une puissance de 20,5 MWc. tout en sécurisant la construction d’un portefeuille greenfield de 65 centrales en toitures de bâtiments agricoles développées par Enoé pour une puissance totale de 12,9 MWc.
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