Des chercheurs norvégiens ont utilisé une approche annuelle, tenant compte de l’effet combiné de la température, de l’humidité et du rayonnement ultraviolet, pour évaluer le taux de dégradation de modules polycristallins ayant un coefficient de température de -0,43 %, montés avec une inclinaison d’environ 10 degrés et situés dans l’est de la Norvège. Ils ont constaté que ces modules se dégradent dans une fourchette de 0,1 à 0,19 % par an, soit 0,4 % de moins que les panneaux fonctionnant sous d’autres climats.
Le module à 144 cellules est disponible en six versions avec des puissances allant de 545 W à 570 W et un rendement compris entre 21,3 % et 22,3 %.
La centrale solaire verticale de 2,2 MWc, construite sur un mur de barrage à une altitude de près de 2 500 mètres au-dessus du niveau de la mer, devrait être mise en service d’ici quatre mois.
Une start-up suisse a créé un système photovoltaïque mobile conteneurisé, conçu pour être facilement déplacé afin de permettre l’utilisation de l’énergie solaire dans des endroits où une installation fixe n’est pas envisageable. La solution repose sur une technologie de rack qui peut comprendre deux unités capables d’accueillir jusqu’à 30 panneaux solaires.
Avec le projet Khoumagueli Solar IPP, InfraCo Africa et Solvéo Energie vont vendre de l’électricité à la société anonyme à capitaux publics majoritaires Électricité de Guinée (EDG).
Cette cellule a été fabriquée avec un substrat flexible composé d’oxyde d’indium et d’étain (ITO) et de polyéthylène téréphtalate (PET). Soumis à un test de chaleur humide, le dispositif a montré qu’il pouvait conserver 90% de son rendement initial après 800 heures.
Fabriqués dans son usine Solarwatt de Dresde, en Allemagne, ces deux panneaux affichent un coefficient de température de -0,37%. Le Solarwatt Vision Style – le plus puissant des deux produits – peut aller jusqu’à 380 Wc et proposer un rendement de 20,4%.
Des scientifiques américains de l’Université d’Harvard ont créé une nouvelle conception de batteries à semi-conducteurs lithium-métal, plus stable que les batteries Li-Ion, qui pourrait potentiellement recharger les véhicules électriques en 10 à 20 minutes.
Selon une équipe de recherche germano-suisse, le développement des carburants à base d’hydrogène ne pourra pas progresser assez rapidement afin de remplacer les combustibles fossiles et lutter contre le changement climatique. Les scientifiques affirment que les solutions d’électrification directe sont moins coûteuses et plus faciles à mettre en œuvre.
Cet appel d’offres – qui devrait être lancé entre juin et juillet – sera divisé en dix tranches de 100 MWc chacune, et intégrera les exigences en matière de câbles, de modules et de structures de montage.
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