Proparco, la Société financière internationale et la Banque européenne d’investissement prêteront 38 millions d’euros au projet. Une centrale photovoltaïque à Tauba vendra son électricité à 0,0380 € par kWh et une deuxième à Kahone à 0,0398 € par kWh.
Le développeur français double à nouveau les entrées de ses opérations de service ce trimestre avec une forte croissance dans la construction et de nouvelles ventes de centrales électriques. Ses ventes d’énergie ralentissent cependant avec un retour à la normale des prix au Brésil.
L’élimination des polluants atmosphériques augmenterait le rayonnement solaire de 11% en moyenne, ce qui permettrait aux cellules solaires de générer davantage d’électricité. En ce qui concerne la Chine, d’ici 2040, plus de 85 TWh d’électricité supplémentaires pourraient être générés chaque année si l’air était pur.
L’INES et Formapelec s’allient pour proposer une formation de qualité aux électriciens souhaitant travailler dans le secteur de l’énergie solaire. Dès 2020, ce cursus sera conçu pour promouvoir les standards du photovoltaïque en France.
Une centrale solaire flottante sera déployée en mer du Nord, à proximité d’une plateforme d’aquaculture et d’une centrale éolienne offshore. Le projet pilote de 2 millions d’euros est en cours de développement par un consortium composé de Tractebel, du groupe Jan De Nul, de DEME, de Soltech et de l’Université de Gand.
Scatec Solar a obtenu un financement supplémentaire pour son projet solaire de 33 MW à Ségou, au Mali.
Des mesures de stockage, de prédiction et de contrôle de production d’énergie solaire ont permis de doubler la puissance précédemment autorisée pour les centrales photovoltaïques en Guadeloupe.
Ils affirment que ce nouvel outil est capable de convertir directement la lumière du soleil et la vapeur d’eau en hydrogène avec un rendement de 15%, produisant ainsi 250 litres d’hydrogène par jour.
Un article de recherche rédigé par des scientifiques du US National Renewable Energy Laboratory décrit une nouvelle approche pour fabriquer des cellules solaires à base d’arséniure de gallium. L’approche, appelée « germanium sur vide » pourrait permettre une production rentable et en grande quantité de cellules photovoltaïques à base de matériaux III-V, tels que l’arséniure de gallium.
Alors que Bruxelles franchit le cap des 100 MW d’installations photovoltaïques, son régulateur annonce la fin d’une subvention pour les coûts de réseau soutenant les propriétaires de petites installations. Plus de 4000 prosumers verront leurs factures d’électricité augmenter en fonction de l’énergie qu’ils prélèvent sur le réseau. Faut-il s’en faire pour ce marché ?
This website uses cookies to anonymously count visitor numbers. To find out more, please see our Data Protection Policy.
The cookie settings on this website are set to "allow cookies" to give you the best browsing experience possible. If you continue to use this website without changing your cookie settings or you click "Accept" below then you are consenting to this.