Selon les prévisions des analystes, le monde installera 125 GW de photovoltaïque par an à partir de 2020. Cette croissance s’appuiera sur un « club gigawat » dont les membres se multiplient à vive allure.
D’ici l’été 2020, le département du Haut-Rhin mettra le premier réacteur nucléaire construit en France hors service et accueillera 300 MW de production photovoltaïque.
Le producteur d’énergie indépendant affiche une hausse de son chiffre d’affaires de 19% au premier trimestre 2019. Deux nouvelles centrales solaires à la Réunion et en Guadeloupe, ainsi que des projets en toiture en métropole consolident sa place au soleil sur les réseaux français.
Des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology ont mis au point un processus de sélection pour de nouveaux matériaux pérovskites. Celui pourrait accélérer la recherche de matériaux pouvant potentiellement être utilisés dans les cellules solaires à haute efficacité. Selon le MIT, le processus accélère la synthèse et l’analyse de nouveaux composés d’un facteur 10 et a déjà mis en évidence deux ensembles de matériaux dignes d’être étudiés.
Les sénateurs et députés finissent de rédiger une loi lourde en répercussions pour la lutte contre le changement climatique et pour le marché émergent d’autoconsommation solaire. Le secteur photovoltaïque français accueille le premier aperçu du texte avec un optimisme prudent.
Une filiale d’Encavis scrute les projets photovoltaïques et éoliens en France, en Allemagne, en Autriche et aux Pays-Bas pour placer l’investissement. Le gestionnaire d’actif estime que ces marchés sont mûrs pour le capital privé.
L’entreprise d’Elon Musk s’éclipse doucement du secteur photovoltaïque mais ses ventes de batteries explosent.
Des chercheurs du Georgia Institute of Technology aux États-Unis ont utilisé des images à rayons X pour observer les fissures qui se forment dans les batteries au lithium à l’état solide, une découverte qui, selon eux, modifie la compréhension des performances de la batterie à l’état solide et pourrait mener à des dispositifs plus durables.
Une étude économique affirme qu’investir dans une centrale nucléaire de 1 GW entraîne aujourd’hui des pertes moyennes d’environ 4,8 milliards d’euros. Elle ajoute que, suite aux problèmes de radioactivité et au risque de prolifération, le nucléaire ne devrait pas être considéré comme une solution énergétique “propre” pour lutter contre le changement climatique. Pourtant, les gouvernements continuent d’incorporer cette technologie dans leurs stratégies énergétiques.
La multinationale française centralise quatre de ses bureaux de conseil sous la bannière de ENGIE Impact pour accompagner les entreprises, les villes et les gouvernements dans leurs démarches de développement durable.
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