D’après pv magazine international.
L’Autorité de régulation de l’énergie et du pétrole (EPRA) du Kenya a publié un projet de loi pour soutenir l’introduction d’un régime de facturation nette pour les installations photovoltaïques.
Les nouvelles règles s’appliqueront aux systèmes photovoltaïques d’une taille maximale de 1 MW et devraient aider le pays à déployer, dans un premier temps, environ 100 MW de capacité solaire, selon l’EPRA.
Les propriétaires des panneaux solaires devront prendre en charge les frais de raccordement au réseau ainsi que les coûts d’installation de compteurs unidirectionnels ou bidirectionnels. Les autorisations d’exploitation dans le cadre de la facturation nette seront accordées dans un délai de 60 jours à compter de la date de la demande, a indiqué l’EPRA.
Selon l’autorité, le Kenya dispose actuellement de près de 100 MW de capacité photovoltaïque décentralisée. Leurs propriétaires ont désormais recours au stockage ou à la réduction de la consommation pour gérer l’excédent d’électricité. Selon l’EPRA, la plupart de ces installations ont été déployées entre 2018 et 2019, lorsque des incitations fiscales étaient en place et que les prix des modules solaires étaient à leur plus bas niveau.
Selon l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA), le Kenya disposait de 147 MW de capacité photovoltaïque installée à la fin de 2021. En 2021, près de 41 MW de nouvelle capacité PV a été installée, alors qu’au cours des trois années précédentes, seulement 1 MW d’énergie solaire avait été déployé.
Ce contenu est protégé par un copyright et vous ne pouvez pas le réutiliser sans permission. Si vous souhaitez collaborer avec nous et réutiliser notre contenu, merci de contacter notre équipe éditoriale à l’adresse suivante: editors@pv-magazine.com.
En transmettant ce formulaire vous acceptez que pv magazine utilise vos données dans le but de publier votre commentaire.
Vos données personnelles seront uniquement divulguées ou transmises à des tierces parties dans une optique de filtre anti-spams ou si elles s’avèrent nécessaires à la maintenance technique du site web. Un transfert de vos données à des tierces parties pour toute autre raison ne pourra se faire que s’il est justifié par la législation relative à la protection des données, ou dans le cas où pv magazine y est légalement obligé.
Vous pouvez révoquer ce consentement à tout moment avec effet futur, auquel cas vos données personnelles seront immédiatement supprimées. Dans le cas contraire, vos données seront supprimées une fois que pv magazine aura traité votre requête ou lorsque le but du stockage des données est atteint.
Pour de plus amples informations sur la confidentialité des données, veuillez consulter notre Politique de Protection des Données.