D’après pv magazine Australie.
La réserve d’énergie de Hornsdale (HPR), qui est détenue et exploitée par le géant français des énergies renouvelables Neoen, a été condamnée à payer une amende de 900 000 dollars australiens pour avoir enfreint les règles australiennes en matière d’énergie.
L’amende, ordonnée par la Cour fédérale, intervient à la suite d’une action en justice entamée par le régulateur australien de l’énergie contre HPR. Elle est liée à des infractions aux règles nationales en matière d’électricité, concernant des services de secours pour le réseau.
L’autorité de régulation affirme qu’entre juillet et novembre 2019, HPR n’a pas fourni de services auxiliaires de contrôle de fréquence de secours (FCAS), en dépit des offres faites et du paiement reçu de l’Australian Energy Market Operator (AEMO) selon lequel elle devait se tenir prête à les fournir. HPR a admis qu’elle n’aurait pas été en mesure de respecter ses offres et de fournir ces services pendant cette période, alors même qu’elle était payée pour le faire.
La défaillance a été identifiée au moment où une panne inattendue à la centrale électrique au charbon de Kogan Creek dans le Queensland en 2019 a provoqué des perturbations du réseau. Le tribunal a constaté que les enquêtes menées après l’incident de Kogan Creek avaient révélé que le système de stockage, surnommé “grande batterie Tesla”, ne fournissait pas les services de stabilité annoncés depuis la mise à jour du micrologiciel effectuée par le fournisseur de technologie Tesla au début de l’année 2019.
La suite de l’article est disponible sur le site de l’édition australienne de pv magazine.
Ce contenu est protégé par un copyright et vous ne pouvez pas le réutiliser sans permission. Si vous souhaitez collaborer avec nous et réutiliser notre contenu, merci de contacter notre équipe éditoriale à l’adresse suivante: editors@pv-magazine.com.
En transmettant ce formulaire vous acceptez que pv magazine utilise vos données dans le but de publier votre commentaire.
Vos données personnelles seront uniquement divulguées ou transmises à des tierces parties dans une optique de filtre anti-spams ou si elles s’avèrent nécessaires à la maintenance technique du site web. Un transfert de vos données à des tierces parties pour toute autre raison ne pourra se faire que s’il est justifié par la législation relative à la protection des données, ou dans le cas où pv magazine y est légalement obligé.
Vous pouvez révoquer ce consentement à tout moment avec effet futur, auquel cas vos données personnelles seront immédiatement supprimées. Dans le cas contraire, vos données seront supprimées une fois que pv magazine aura traité votre requête ou lorsque le but du stockage des données est atteint.
Pour de plus amples informations sur la confidentialité des données, veuillez consulter notre Politique de Protection des Données.