Après s’être doté d’une raison d’être en juillet 2021, « mettre l’humain et la planète au cœur de l’énergie de demain », le producteur d’énergies renouvelables CVE devient und “entreprise à mission”. Cette décision a été entérinée lors de l’Assemblée générale des actionnaires du 31 mai. Il poursuivra trois objectifs, inscrits dans ses statuts :
Objectif 1 : l’impact environnemental. Produire des énergies renouvelables, décentralisées, dans une logique de circuit court, avec la volonté d’accélérer la transition énergétique des territoires, des entreprises et du monde agricole, tout en veillant à limiter son impact sur l’environnement.
Objectif 2 : l’impact humain. Placer l’humain au cœur de son projet d’entreprise, afin de promouvoir l’épanouissement individuel et collectif, d’encourager l’excellence et de favoriser l’engagement de chacun.
Objectif 3 : l’impact social. Imaginer et construire les modèles énergétiques de demain, en collaboration étroite avec les acteurs des territoires, en favorisant une gouvernance partagée et une création de valeur sociale et locale.
Un comité de mission sera constitué d’ici à février 2023 pour suivre et coordonner l’exécution de cette mission. Il présentera chaque année un rapport dédié joint au rapport de gestion aux associés et à l’assemblée chargée de l’approbation des comptes de CVE.
De plus, en mars 2022, l’entreprise a mis en place des indicateurs clés de performance extra-financière, qui seront mesurés et vérifiés chaque année par un organisme tiers indépendant. Le groupe s’est également doté d’une « Charte achats responsables », engageant ses partenaires fournisseurs.
Par ailleurs, CVE propose un outil, appelé « TIC-TIL » pour taux d’impact carbone et taux d’impact local, qui permet de calculer, tout au long du cycle de vie d’un projet, son empreinte carbone (en équivalent tonnes de CO2) et son impact socio-économique. Ce dernier agrège la valeur ajoutée créée pour les territoires (en euros) et le nombre d’emplois créés. « Pour nous, l’impact carbone et social d’un projet doit être évalué au même titre que sa rentabilité financière, expliquent Hervé Lucas et Pierre de Froidefond, associés fondateurs et co-Présidents de CVE. De plus, de nombreuses idées reçues circulaient sur l’empreinte carbone de l’énergie solaire. C’est pourquoi nous avons décidé, avec notre équipe Innovation et R&D, de créer cet outil de mesure. Il nous permet d’adopter une démarche scientifique, analysant précisément l’impact de chaque composante d’un projet ». Celui-ci, initialement utilisé pour mesurer l’impact des projets solaires de CVE en France, sera progressivement appliqué à l’ensemble des nouveaux projets du groupe, en France et à l’international.
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