Ce partenariat cible dans un premier temps la France, avec la possibilité de l’étendre à d’autres pays européens. Uber s’est fixé comme objectif d’atteindre 50% de véhicules électriques disponibles sur sa plateforme française en 2025, qui compte actuellement 30 000 chauffeurs. De son côté, TotalEnergies est déjà fortement engagé dans les services et infrastructures de recharge dans les grandes agglomérations européennes et sur l’ensemble du territoire français, notamment à Paris, explique un communiqué commun aux deux entités, publié à cette occasion.
TotalEnergies va fournir aux chauffeurs utilisant l’application Uber et équipés de véhicules électriques ou hybrides rechargeables, une carte émise par TotalEnergies leur donnant accès à la recharge de leurs véhicules dans des conditions préférentielles au sein du réseau de stations-service et dans l’ensemble du parc de bornes électriques opérés par TotalEnergies. L’énergéticien disposera de quelque 20 000 points de recharge dans l’Hexagone d’ici à fin 2021 et plus de 75 000 à horizon 2025.
En complément, TotalEnergies et Uber vont collaborer, sur la base des usages et trajets des chauffeurs Uber, pour déterminer de façon optimale les emplacements pouvant accueillir à terme de futurs hubs et sites de recharge.
Les chauffeurs pourront également accéder au programme de fidélité « Club » de TotalEnergies et bénéficier gratuitement pendant un an de l’assistance Club TotalEnergies, intégrant différents services dont le dépannage pour leur véhicule électrique ou hybride rechargeable. Les chauffeurs auront enfin un accès privilégié à une offre à domicile avec un accompagnement administratif gratuit, destinée à encourager l’installation d’une borne de recharge électrique, que ce soit en copropriété ou en maison individuelle.
Les deux entités rappellent que « le manque d’infrastructures de recharge est souvent cité par les chauffeurs VTC comme un obstacle important à la transition vers l’électrique. En Ile-de-France par exemple, les bornes de recharge se concentrent actuellement dans le centre de Paris et la première couronne, alors que seulement 12% des chauffeurs VTC utilisant l’application Uber vivent à Paris, contre 41% dans les départements de la deuxième couronne (77,78,91,95) et 22%, soit la majorité, en Seine-Saint-Denis. »
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