Le consortium “Green Fuel Alliance” mené par EDF Renewables et l’entreprise émirati Zero Waste, spécialisée dans le développement de projets dans les engrais, le pétrole et le gaz, est entré dans une phase plus concrète avec la signature d’un accord-cadre avec le ministère de l’Électricité, l’Autorité générale de la zone économique du canal de Suez (SCZONE) et le sous-fonds des infrastructures et des services publics du Fonds souverain d’Égypte (TSFE) pour le développement d’un mégaprojet d’hydrogène vert et de dérivés qui sera situé dans la zone économique du canal de Suez.
Le projet générera 80 000 tonnes par an d’hydrogène vert et nécessitera la construction de plus de 2 GW de capacités d’énergies éoliennes et solaires qui seront mises en œuvre par phases afin d’alimenter un électrolyseur de 700 MW. La répartition du mix électrique n’a cependant pas été précisée.
La première phase du projet produira environ 22 000 tonnes d’hydrogène vert par an pour la synthèse de l’ammoniac et devrait être opérationnelle d’ici à 2026. Selon l’accord, d’ici 2030, le projet augmentera la capacité totale de production d’hydrogène vert pour atteindre 80 000 tonnes par an.
« Ce projet s’inscrit dans le cadre de l’ambition d’EDF CAP 2030 de doubler sa capacité renouvelable nette de 28 GW à 60 GW entre 2015 et 2030. Dans le prolongement, le projet contribuera également au récent plan Hydrogène d’EDF dont l’objectif est de développer une capacité d’électrolyse de 3 GW d’ici 2030 », a indiqué François Dao, Vice-président, Moyen-Orient et Afrique d’EDF Renewables.
Ce contenu est protégé par un copyright et vous ne pouvez pas le réutiliser sans permission. Si vous souhaitez collaborer avec nous et réutiliser notre contenu, merci de contacter notre équipe éditoriale à l’adresse suivante: editors@pv-magazine.com.
En transmettant ce formulaire vous acceptez que pv magazine utilise vos données dans le but de publier votre commentaire.
Vos données personnelles seront uniquement divulguées ou transmises à des tierces parties dans une optique de filtre anti-spams ou si elles s’avèrent nécessaires à la maintenance technique du site web. Un transfert de vos données à des tierces parties pour toute autre raison ne pourra se faire que s’il est justifié par la législation relative à la protection des données, ou dans le cas où pv magazine y est légalement obligé.
Vous pouvez révoquer ce consentement à tout moment avec effet futur, auquel cas vos données personnelles seront immédiatement supprimées. Dans le cas contraire, vos données seront supprimées une fois que pv magazine aura traité votre requête ou lorsque le but du stockage des données est atteint.
Pour de plus amples informations sur la confidentialité des données, veuillez consulter notre Politique de Protection des Données.