Sur un terrain de 25 hectares en Île-de-France, la centrale, nommée Meaux Solaire, devrait produire 18,6 GWh annuellement et permettre d’alimenter près de 20 % des foyers de Meaux.
Dotée de 39 996 panneaux solaires, elle a été finalisée au terme de deux années d’études et de travaux menés par Langa, un producteur breton d’énergie renouvelable acquis par Engie en 2018.
Le projet s’inscrit dans le cadre de la stratégie Énergie-Climat de la Région Île-de-France – dont l’objectif est de produire 37 TWh d’énergie renouvelable en 2030 dont 6 TWh d’énergie solaire photovoltaïque. Il a bénéficié d’une campagne de financement participatif au bout de laquelle 400 000 euros ont été récoltés auprès de 141 investisseurs issus principalement des départements du Val-de-Marne, de l’Essonne et de la Seine-et-Marne.
Avec cette centrale, la ville de Meaux souhaitait donner une « seconde vie » à un terrain désaffecté. Par ailleurs, pour soutenir la biodiversité du terrain, un muret favorable à la colonisation par les reptiles, la création d’une prairie et de trois mares ou encore la plantation de haies champêtres seront mis en place. Il est également prévu d’installer des ruches et d’y faire paître des moutons, solution déployée par la société Écomouton.
D’après ses indications, le portefeuille en opération de Langa atteignait une capacité installée de 215 MW environ, dont 165 MW d’énergie solaire et 39 MW d’éolien, fin 2018. Le groupe développe par ailleurs 1,3 GW de projets qui verront le jour à horizon 2022.
Le groupe Engie vise le développement de près de 3 GW d’éolien et près de 2,2 GW de solaire à l’horizon 2021.
Ce contenu est protégé par un copyright et vous ne pouvez pas le réutiliser sans permission. Si vous souhaitez collaborer avec nous et réutiliser notre contenu, merci de contacter notre équipe éditoriale à l’adresse suivante: editors@pv-magazine.com.
En transmettant ce formulaire vous acceptez que pv magazine utilise vos données dans le but de publier votre commentaire.
Vos données personnelles seront uniquement divulguées ou transmises à des tierces parties dans une optique de filtre anti-spams ou si elles s’avèrent nécessaires à la maintenance technique du site web. Un transfert de vos données à des tierces parties pour toute autre raison ne pourra se faire que s’il est justifié par la législation relative à la protection des données, ou dans le cas où pv magazine y est légalement obligé.
Vous pouvez révoquer ce consentement à tout moment avec effet futur, auquel cas vos données personnelles seront immédiatement supprimées. Dans le cas contraire, vos données seront supprimées une fois que pv magazine aura traité votre requête ou lorsque le but du stockage des données est atteint.
Pour de plus amples informations sur la confidentialité des données, veuillez consulter notre Politique de Protection des Données.